Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Les Ecornifleurs Des Ports

27 mars 2006

SELLAMI ABDENOUR A TOUTES FINS D'EDITIONS… Toute

SELLAMI ABDENOUR

A TOUTES FINS D'EDITIONS…

Toute reproduction est interdite

Dans ce livre qui fut envoyé à toutes les institutions du pays y compris à la Présidence depuis déjà plus d'une année ; il sera démontre que pour réussir dans la vie moi le djenhi je me propose à vous en dicter le mode .

Mes chers lecteurs sachez que pour percer dans notre pays,il importe peu :

D’être bagagé , d’être instruit ,

Ni d’être issue d une bonne famille.

Ni d ‘être citadin.

mais il ne s agit tout Simplement que ;

d ‘ être réglé sur la même longueur d’onde .

Ou d accepter d’être en résonance avec les mal intentionnés .

qui sont les certaines gens de certaines groupements stratégiques de notre pays .

si vous arrivez a en être leur outil de travail votre réussite de :

standing social .

standing financier .

de rapports entre catégories de différentes échelons est toute faite et vous en deviendrez .

un micro président de votre micro république parmi des milliers d autres .

chers lecteurs je vous laisse le soin de porter un jugement en fin de lecture de ce livre .

concernant la positivité, si elle existe de cette

naissance quasi calamiteuse .

La question vous est posée .

depuis déjà une ribambelle d’années des ribambelles d’hommes de mains de micro présidents à un degré légèrement plus élève que le nôtre sont nés .

Dans ma micro république à moi, moi le micro président je me suis fait entourer de gens à moi .

Conformément aux directives de mes professeurs a moi lesquels ont été eux mêmes à bonne école .

la multitude majoritaire restante de mes sujets récalcitrants pour certains malgré eux car :

N’ oublions pas , la personnalité de notre peuplade aimé de notre bon dieu .

Etant donné le nombre de prosternations journalières que nous nous infligeons .

Parce que le mot de passe est connu .

Il est donné d’une manière maladive afin de soigner notre image de marque .

Ceci tout en sachant pertinemment le but négatif escompté de notre vie.

On y va allègrement et sans brancher s’il vous plait.

sans aucun remords .

sans aucune crainte de l’au delà .

Vu que sur notre bonne vieille terre à nous .

C’est nous qui décidons .

C’est nous qui ordonnons .

C’est nous qui nous faisons aider .

On y fonce donc .pour la prendre cette maudite

alternative qui nous tient tant à cœur .

Seulement, nos mauvais agissements , se répercutent sur notre santé .

Ceci on l’en ressent fatidiquement .

Mais peu importe , l’important est notre entourage qu’il soit proche ou éloigné .

Il est impératif de les satisfaire.

Il est impératif de les combler,dans leur sordide perspective de rêve de mode de vie à atteindre.

Pouvoir pour argent ou argent pour pouvoir qu’on tu nous tiens.

Moi l’opportuniste djenhi à outrance .

élevé à courir pieds nus dans le djebel parmi les serpents et autres animaux de tous s genres .

Je me suis jure de réussir dans la vie.

Pour cela, le peu d’instruction , que je reçus le plus normalement du monde sur les bancs d’une école publique ;

Je l’utilisais à bon escient à enseigner dans une école Primaire surplombant le djebel .

Pour atteindre mon premier lieu de travail, je dus

peiner pour y arriver durant les premiers mois sans aucun moyen de locomotion .Vu qu’il Fut situe à environ une dizaine de kilomètres à vol d’oiseau et

à environ une centaine De mètres plus haut que la position de notre gourbis familial dont l’altitude ne pouvait pas descendre à moins de soixante mètres .

Cette période de ma vie est à en marquer d’une pierre blanche .

Avant que je n’acquiers au prix de lourds sacrifices familiaux une bicyclette ,j’en pâtis drôlement .

Elle me facilitait drôlement la vie.

Le cote élogieux de cette période de ma vie qui nonobstant le fait d’avoir mérité ou non à essayer de donner des cours en langue française s’il vous plait , aux frères et sœurs de mes amis .

mes confidents , durant les discussions à bâtons rompus portant sur le sort de notre vie .

De notre chienne de vie .

Destinée, qu’on ne méritait pas .

Selon notre tribale opinion globale , considérant l’histoire de vie de nos parents , et de nos grands parents,lesquels furent les seuls à combattre le colonialisme français .

Sur ce point , nous fûmes tous d’accord lors des séances de gardiennage de nos mini troupeaux de chèvres.

Je m’excuse pour mes explications approximatives sur :

La situation géographique exacte de mon maquis d’enfance.

Cet oubli honteux non voulu de ma part mais provoqué dans mon esprit torture par cette soif inassouvie et toujours inassouvissable de dépasser les gens de la ville :

D’être quelqu'un en définitive .

Ma promesse fut donnée .

Au sein même des odeurs que nous ont dégage nos troupeaux..

Néanmoins, il est à noter que seuls, nous :

peuplade trempée dans cette même senteur .

Dans cette effluve à nous qui nous a transmis la solidarité légendaire de ceux du dehors .

Nous en sommes les seuls capables d’en apprécier la saveur.

Le peu de pécule accumulé durant ces années de passage à vide :

Je l’utilisais à rejoindre Alger .

ceci suite aux appels pressants de nos gens du dehors ,d’amis et de proches.

Cependant ces années là m’ont apprit à maîtriser le langage de bien parler aimé, voulu, désiré par :

Ceux munis de pouvoir à l’époque , par les influents .

Ce langage basé essentiellement sur :

L’hypocrisie .

La malice .

La malhonnêteté .

La bassesse de tous genres :

Coutumes de nos parents et arrières parents durant

le colonialisme français.

Bien introduit , bien dirige , donc :

Notre capitale s’est offerte à mes pieds.

Au début ,Je ne pus choisir le poste de travail que j’eusse souhaite malgré mes tentatives effrontées pour y accéder .

Seulement je dus me rendre à l’évidence et m’y résigner .

Fatigué de chercher je dûs accepter le seul poste qui m’y allait , qui m’y convenait pour le moment car dépourvu de toute instruction .et :

Surtout le temps pressait pour :

Pouvoir enfin manger à ma fin .

Je mettais donc en valeur mes seuls capacités intellectuelles et physiques du moment .

Cependant , comme vous le constaterez plus loin nous :

L es montagnards :

Avons l’habitude d’essuyer toute une assiette de couscous à gros grains, pour notre quatre heures ,à la graisse de vieux bœuf ,et , arraisonné de petit lait de chèvre , le tout généreusement assaisonné d’huile d’olives et grassement garni de tranches de

lard de vieille vache .

Donc pour nous faire changer d’avis , pour nous dégoûter , il faudra se lever de bonne heure .

c’est pourquoi dès cinq heures du matin et jusqu’à

une heure tardive de la nuit je travaillais durement

je m’égosillais et vociférais à en perdre la salive ,

l’haleine et le souffle .

Mon outil de travail :

C’est à dire le sifflet s’est tout simplement anodifié Car vingt heures par jour entre mes lèvres dans le milieu électrolytiquement corrosif au plus haut degré qu’est ma salive.

Mon pauvre sifflet en a perdu tout son chrome.

Je vis maintenant à Alger .

mais je n’ai point délaissé mes habitudes ,.

mon manger est resté toujours le même .

Je l’ai retrouvé chez mes amis ,chez mes Proches familles d’accueil .

Ces derniers me conseillèrent judicieusement à juste titre et au bon moment de m’inscrire au parti unique .

Pour en faire partie microscopiquement parlant pour le moment , du front de libération nationale.

Cette nouvelle appartenance me catapulta directement vers un degré plus élevé en grade dans le clan des djebelistes .

Vu que je fus le plus instruit parmi eux .

on m’attribua automatiquement l’appellation de SI .

Mon langage s’enrichit .

Notoriété oblige par les répétitions quasi instantanées de la fameuse allocution :

Si dieu le veut .

Cette phrase ancrée par calamité maladive chez un grand nombre de notre populace soucieuse en bloc

de réussir .

Aussi .

Ma carte de militant en poche , je ne rencontrais aucune difficulté à m’inscrire avec brio à

l’université D’ALGER .

Concernant la validité de mon niveau scolaire je vous laisse le soin chers lecteurs d’en deviner son mode de constitution ; de construction .

Inscrit donc nouvellement en faculté de droit dans la plus prestigieuse université de notre pays .

Ma joie n’avait plus de limites .

Je le faisais savoir partout où j’allais .

D’autres portes des gens de chez nous qui avaient réussi dans le commerce , s’ouvrirent à moi .

Tout ceci me ragaillardit .

Mon torse se gonfla encore davantage d’orgueil ; mes parents s’enorgueillirent .

Ils ne purent que difficilement cacher cette

bénédiction qui leur est tombée du ciel .

selon les avis des uns et des autres ;

mais, eux le savent .

Cette opportunité de début de réussite dans la vie ;

leur fils la leur doit .

parce que lors de son déplacement vers ALGER ,

Ils lui ont truffé son modeste cabas :

de petits bouts de papiers soi disants écrits mais moi je le sais .

ils ont été :

griffonnés par da othmane le marabout de notre dechra .

Aussi lettré que moi même mais ses griffonnages , j’y crois ferme et ce jusqu’à aujourd’hui .

D’ailleurs , les seuls visites que j’effectue au bled , au sommet du djebel ;

sur les lieux de ma villégiature , quand je me rendais ; ce n’est nullement pas par nostalgie mais uniquement par souci d’approvisionnement en micro manuscrits indispensables à la fatale continuation de ma réussite .

Car ceci vient d’en haut.

Capté. les jours de pluies drues .

On impute cela au bon dieu encore et encore

On le clame tout haut durant .

On le clame également le bon dieu après les abominables , séances de coupes gorges des non

sujets de dieu , selon nous les mangeurs de chèvres

les buveurs de petit lait dilué dans leur graisse .

Ce sont les miens .

Nos compagnons des territoires avoisinants ou de djebels visibles du nôtre à l’œil nu , peuplés d’affreux algériens cantonnés en tributs sur

ces terres occupés le plus facilement et le plus normalement du monde .

Avec la bénédiction du parti au pouvoir de l’époque .

Ce sont les gens de chez nous , les instigateurs .

à vouloir et à continuer à le faire .

Nous seuls prétendons à l’accaparage du bon dieu . Nous seuls sommes les pionniers des actes appelés depuis communément terroristes .

Gonflé à bloc en tant qu’universitaire de nuit .

Toutefois , je ne puis absolument rien assimiler du minimum de connaissances qu’ont essayé de nous inculquer , avec vociférations , fracas et colères , nos professeurs mais en vain .

Ils se sont vite rendus à l’évidence que tous leurs efforts sont vains , et resteront vains .

Ils ont vite compris que les soit disants étudiants qu’ils avaient en face d’eux étaient nuls .

Ils étaient démunis de tous bagages intellectuels .

Ils ont également vite compris ,que cela devait se dérouler ainsi .

Car comme leur a expliqué l’administration universitaire :

C’est voulu ,et ce sont les ordres .

Comme je suis devenu maître dans le dialogue des

personnalités , des gens bien introduits , devenus à leur tour introducteurs , classe ascendante de

l’époque :

Moi ,et mes collègues étudiants devenus amis à vie,

la solidarité de nos racines oblige .

à propos :

Leurs transgressions à leurs lois professionnelles dont ils sont régis , me sauvèrent d’une mort quasi certaine

Voulu par dieu et par notre justice , comme vous le constaterez plus loin chers lecteurs nous n’avions aucune peine à les convaincre d’accepter la fatalité de la chose car humour à l’appui : L’humour ça nous connaît .

On leur expliqua que :

Sur notre carte de militant du parti il fallait vouloir le voir pour le voir ; que : notre diplôme est inséré à l’avance .

Comme à l’image d’un billet de banque dans le cas de l’insérage de la photo de l’émir Abdèlkadder .

Que pouvais je espérer de mieux .

J’ai eu grâce donc à mes possessions de talismans et mes relations tribales , le beurre et l’argent du

beurre .

Sans pour cela que mes parents ne déboursent le

moindre dinar .

Les citadins soucieux à juste titre dans le sens positif pour leur vie , et la destinée de leurs enfants sans intervenants ni introducteurs aucuns , serrent

la ceinture , privent leur progéniture du principal et de beaucoup de choses pour s’efforcer de les éduquer tout en leur faisant suivre le parcours normal , sans aucune tricherie ni bassesse ,comme c’est le cas partout dans le monde civilisé .

Ces citadins , honneur à eux , pour les moins démunis , font l’impossible ;

s’achètent un terrain ,et se font construire une maison brique après brique .

Me concernant au contraire j’ai tout gagné :

le jour , je sifflote en apprenant à commander aux gens ,en approfondissant mes connaissances en écriture et orthographe dans la rédaction des procès verbaux .

le soir je fais acte de présence à l’université .

ceci il le fallait car il y avait une bourse d’étude à prendre .

en plus de mon salaire de régulateur de circulation sur la place des champs de manœuvres D ALGER .

durant mon mois de vacances estudiantines , en été qui coïncidait toujours à ma convenance avec mon congé de travail :

Parce que mes relations du bled existantes , elles m’aidèrent toujours dans ce sens , je ne manquais

jamais d’inviter deux ou trois nouveaux amis .

Parmi eux ma meilleure relation fut celle acquise avec grands tacts .

J’ai dû mettre le paquet .

il avait fallu décharger toutes mes batteries de langage maison pour l’amadouer .

Ce fils de grand militaire m’a ouvert toutes les portes tant convoitées .

Auparavant , avec l’argent accumulé par les miens : mes parents , mes frères et mes sœurs en plus de mes deux économies annuelles :

On pût , moi et les miens se sacrifier ,se départager en quatre pour ainsi déménager en achetant une maisonnette en parpaings cette fois ci , soixante mètres plus bas , réussite oblige et dans le but de pouvoir recevoir décemment .

Pour ça je ne cesserais jamais de remercier mes proches qui se sont dévouées à fond .

Ils se sont sacrifiés .

Ils ont été vraiment aux petits soins , surtout pour mon grand ami , mon passe partout .

Ce dernier a eu droit à touts les égards .

sur mes directives :

Du plus grand d’entre eux .

Dès ma première année de faculté de nuit , j’acquiers une personnalité .je devenais le grand monsieur D’ALGER qui dénouait déjà des

affaires de justice au profit du vrai comme du faux .

dans ce domaine je débutais dans l’entreprise de l’excellemment .

j’arrivais à pénétrer , à être hautement reçu pour démarcher toutes les institutions de l’état .

que ça soient les ministères , les banques , les corps d’armées surtout .

Pour cela furent utilisés mes sésames :

compatriotes du bled ;

Parce que nous natifs des tributs des affreux ou des autos transformables en chiens enragés lorsqu’il s’agit d’affaires ;

Notre solidarité légendaire n’a pas de bornes .

si je ne pouvais pas aboutir , là ou mon atout principal n’est pas encore passé , on y organisait une descente d’intimidation .

A notre venue si achour et moi toute l’institution en

question y trépassât .

ma popularité fut telle je n’eus aucun moment de répit durant mon mois de repos avec mes si

Mohamed à moi .

je fus conscient de la nécessité de ma pause annuelle , combien méritée , car :

Le cornement qui perdure , laisse des séquelles .

figurez vous chers lecteurs que ma voix en est

devenue toute grave et toute lente .

donc je fus obligé de ne pas parler beaucoup .

ma santé devant passer avant toutes choses ,

vu que ma réussite dans la vie était toute tracée , je devais donc me préserver , car j’avais touts les atouts en main ;

J’avais toutes les clefs en poche pour une victoire totale .

Tout le monde croyait en moi .

On m’interpellait dorénavant avec respect ,

avec , humilité ou que j’aille vu que :

Au fond d’eux mêmes :

Les gens et ils sont nombreux , me reflétait sans que ceux-ci le sachent mon image :

A travers leurs paroles , ces courbeurs d’échine , tels que les habitants du chef lieu de ma wilaya .

de leurs paroles tirées de :

La crainte .

L’honneur .

L’humilité .

La politesse .

Et enfin la brosse et la bassesse .

Je comprendrais quelqu’un qui s’abaissasserait pour son proche dans le souci de faire embaucher l’un de ses proches ; de se faire aider pour obtenir un logement afin d’abriter sa famille :

Mais à voir des hommes possédant une situation correcte ou tout simplement riches , le faire ;

c’est à en tomber à la renverse .

Ils le font ces gens de la ville ,uniquement dans le

souci de soigner leur image de marque .

Il vous sera prouvé ,chers lecteurs :

Pourquoi nous, les banlieusards ,avons accès à tout

Pourquoi nous ,sommes devenues leurs supérieurs dans tous les domaines . A .

Ces citadins là , malgré :

leur instruction : Taux le plus élevé chez eux .

Leur savoir vivre mais entre eux , seulement .

Placés dans un autre milieu , ils sont nuls , car :

Inertes , non décideurs , toujours dépendants de leurs liaisons restreintes .

Ils se font des confidences mutuelles en milieu fermé ,à l’image de leurs soi disantes épouses

mais sans effets aucuns .

Me touchant en particuliers j’ai appartenu au

premier groupement pour y accéder , une fois le sommet atteint , à ce stade là déjà , on me mangeait dans la main .

Les classes citadines ,riches, pauvres et intellectuelles .

A l’image des hébreux , sont , laborieuses , instruites riches pour certains car tous avares et égoïstes , pieux , mais leur manque :

Ce qui prime chez les juifs :

L’ouverture franche entre toutes leurs classes ;

leur solidarité légendaire entre eux en général .

Le pire de tout cela chez les natifs d’entre les murs comme ne cessait pas de le répéter un être très cher c’est tout simplement .

Qu’ils excellent dans leurs susceptibilités marquantes .

Les frayeurs engendrées par des appréhensions de peur du lendemain .

On le constatera ensemble plus loin.

L’exagération en simagrées qui les rendent Hypocrites ,

Comédiens ,

trop polis et vicelards .

Rien de tout chez les hébreux détendeurs des mondes :

Guerrier , financier , intellectuel , inventif , politique

Par contre moi le djenhi , je m’estime être l’égal du meilleur membre de cette race à succès nonobstant le vide absolu en matières grises dans

ma tête car incapable de résoudre une équation du premier degré à une inconnue .

Au sujet de ma fortune inestimable , je vous laisse le soin mes chers lecteurs de triturer vos méninges , pour en être capable ,en fin de ce livre , d’en évaluer au fur et à mesure le montant .

Bien sur vous arriverez aisément à deviner que ma fortune n’est point le fruit

d’un dur labeur :

Physique .

ou inventif .

ou productif .

ou commercial .

Mais le résultat de ponctuations, légales, des fonds de l’état , en dinars algériens , et en devises étrangères :

Aux yeux de ma hiérarchie directe , complice , car

Instigatrice au niveau du directoire notre présidence de notre république à nous .

Aux yeux du ministère de tutelle dans une certaine mesure .

Aux yeux des meneurs d’enquête de la direction de la police , les mêmes éléments de notre ensemble .

Aux yeux de la justice de ma ville .suite à des pressions de certains co- universitaires de nuit .

Aux yeux des lécheurs de botte que constitue les citadins de ma micro république .

Comment :

Soyez attentifs et vigilants dans la suite de votre lecture pour avoir les explications qui reflètent elles la réalité dans toute sa pureté .

On me sollicitât de partout .

En particuliers dans le chef lieu de ma wilaya

où je gagnais de fortes sommes d’argent pour services rendus ;

pour affaires résolues .

Cependant , à ma deuxième année de faculté

ou si vous voulez , ma seconde année en tant qu’agent de Police ,

ou les muscles de mes mâchoires , de mon cou et de mes lèvres ont en pris un sérieux coup .

A cause du maudit sifflet.

Vous l’avez tout de suite deviné , je le sais .

Toutes les herbes ,les huiles et les micro manuscrits de da othmane sont restées inefficaces .

Ma pauvre voix s’en est ressentie.

Sa tonalité s’aggrava davantage .

Prononcer des sons m’était pénible .

Les séquelles me sont restées à jamais .

Elles subsistent à ce jour .

Je m’exprime lentement .

C’est pourquoi il m’a fallu procéder au tri :

En sélectionnant , mes interlocuteurs .

en ne parlant peu pour me préserver :

je ne choisis que les opérations fructueuses à

réaliser ;

ou ,celles qui me permettraient d’être aidé ,

ou , soutenu on ne sait jamais , à l’avenir .

Egalement , celles ,qui m’ont permis à être accueilli à bras ouverts au sein de la société snobiste de la ville qui est devenue mienne .

Ce type de vie m’a toujours fasciné .

Moi ,le djenhi habitué à gambader pieds nus en

plein champs .

Moi le djenhi , bourré de complexes d’infériorité , vis à vis de ces familles :

toujours bien propre ,

toujours bien habillées ,

toujours bien parfumées ,

en deux mots ,en bons bourgeois ou en bons petits bourgeois ,

je suis devenu leur désiré , leur aimé .

On se surpassa .

On se démena , pour se lier d’amitié avec le paysan que je suis .

On m’invita .

On m’offrit des festins ou je ne manquais point de me gargariser tout en me pourlichant les babines .

Je fus servi attouché par des filles et des dames bien blanches .

Cette progéniture tant longtemps louchée est maintenant pour toujours à mes pieds .

Dorénavant ,les lieux de mes villégiatures plaisantes se déroulent dans une suite du plus grand hôtel d’Alger : l’Aurassi , aux frais de qui ?

J’en ai pris mon pieds avec cette race .

Il va de soi avec la bénédiction de leurs chefs à cornes .

pour que triomphe leur désir .

pour que leurs avoirs s’épaississent .

pour que leurs standings s’élargisse .

Le soupçon que ce beau monde fut diligenté vers moi est à fonder ?

Il en a été voulu ainsi .

Pour me disculper ,en partie , ou totalement envers vous chers lecteurs et envers ma conscience ,

car j’ai appris à vivre à la mode citadine ,

sachez que da othmane , mon confident à moi ,mon bienfaiteur à Moi .

Je le vénérerais toute ma vie .

Il ne fut pas une fois quémander .

Dans le cas contraire il aurait sauter de joie et m’aurait doublé sans aucune vergogne .

Je l’aurais acquiescé en le lui permettant .

Seulement il faut vous rendre à l’évidence ;

tout individu né dans le maquis ,

qui a grandi dans la terre :

dans les champs , a , qu’il le veuille ou non :

son lard , son cuir transformé en une pelure dure , extensible , impénétrable .

Son fumet , je l’ai constaté à mes dépens , reste ineffaçable , indélébile .

Il nous habite , et on n’y peut rien .

Tous les produits :

Crèmes , parfums , n’ont donnés Aucun résultat .

Même le marabout du village :

Spécimen par excellence de notre puanteur s’est trouvé dépassé .

La conclusion est que notre affreuse tribu ,

ses ramifications également ,

leurs descendants pour l’éternité , sommes et resterons trempés à jamais :

Dans notre remugle .

Alors que d’autres s’imprègnent de froid , pour être trempé comme l’acier .

Chose étrange , on se reconnaît , on s’identifie sans qu’on se rapproche l’un de l’autre .

La constatation simple , chers lecteurs .

Promenez vous ,

voyagez dans un car ,dans un bateau ,dans un

avion , assistez : à un meeting , à un spectacle . . .

Bref ,ou que vous soyez ,

l’africanisme de notre race à la recherche de ses semblables , vous sautera aux yeux .

leur regard , offensant , méchant , et tranchant comme leur longs couteaux , dissimulés on ne sait ou pour l’occasion .

Leurs pensées sournoises et méchantes en même temps , qui accompagnent leur méditation insolentes ,

à l’image d’animaux sauvages et nauséabonds , vous donneront envie de vomir ,vous suffoqueront .

et l’on raconte que l’algérien est mal vu :

ne nous étonnons pas , qu’on s’en méfie partout dans le monde .

Leur vision pénétrante vous transpercera ,

vous n’y échapperez point .

Empêchez des chacals à renifler de la viande pourrie

Empêchez des putois à se retrouver par leur odeur .

Vous ne pourriez pas .

Notre nature à nous aussi est ainsi faite .

Personne ne pourra y changer quoique ce soit .

On comprends le pourquoi du refus catégorique ,

d’un haut responsable Algérien de l’ancien

G .P .R .A . à vouloir faire partie de la classe

dirigeante post indépendance du pays .

Le seul justificatif qu’il avait formulé au président de l’époque fut :

La bestialité de souche de la majeure partie de notre Peuple .

La sauvagerie grandissante de la population .

Selon lui , tant que l’éducation de nos tribus et de leurs voisins ne sera pas sérieusement prise en considération :

On n’avancera point .

Chers lecteurs , vous avez certainement compris , que nous constituons cette catégorie en grand nombre et :

Exponentiellement grandissant de l’état .

Nos familles ne descendent pas moins de cinq natalités chacune .

La légitimité de nos naissances est à vérifier ,

car , nous les gitans d’Algérie habitués à squatter les terrains d’autrui .

Pour notre cas précis , pour y construire des gourbis dans les terrains domaniaux de l’état .

Au centre d’un village , très proche de la localité dénommée el djenah , nos familles se sont donc installées .

elles se sont emmêlées et entremêlées .

elles se sont enchevêtrées et entrelacées .

elles se sont unies et désunies .

Aux yeux et aux sus de tout le monde elles ont libérées quantités de rejetons .

Avec pour cela la bénédiction :

Du garde champêtre ,

des préposés à la kasma du parti ,

nous les habitants sommes devenus résidants .

On nous scolarisa nos enfants .

On nous autorisa cultiver des hectares de terre .

Sans être assujettis à aucune loi :

Sans être assujettis à un quelconque impôts de toute nature que ce soit …

On accumula des fortunes .

Voir plus à l’opposé du citadin :

Qui doit payer ses factures ,

construire sa demeure ,

habiller et éduquer ses enfants .

De cet argent ,mes parents m’aidèrent à m’installer confortablement dans ALGER .

Je quittais les dortoirs collectifs :hammam , pour

emménager dans mon logement à moi .

Je pus avoir ma propre voiture .

Je devins le si othmane personnifié .

Il était temps maintenant de penser à préparer le terrain pour l’avenir des grands .

Car , non content de l’assurance de la signature de mon diplôme par le recteur de l’université d’Alger je n’ai jamais douté à occuper un haut poste de responsabilité .

L’opportunité me sera donnée par mon grand ami mon passe partout de toujours .

A ses différentes propositions d’occupation d’un poste au grand soleil , celui de Jijel , a particulièrement retenu mon attention .

il m’a paru le plus approprié .

A mes innombrables entrevues avec ;

les responsables des ports d’Algérie du holding et du ministère de tutelle , le père de si achour ,mon grand ami , qui tenait beaucoup à m’aider m’assura de mon installation

Dès , l’automne prochain .

Dans la ville ,devenue mienne à jamais .

Pour cela je devais à tout prix participer à une réunion au sommet :

HOLDING - directeur ministériel des ports .

Bien sur ,je n’ômmis pas de les convier chez moi dans notre village ,

dans notre fameuse plage .

En échange ,cet été là ,

Lors de ma grande fête de fin d’études supérieures ils prirent carrément leurs pieds dans notre modeste gourbi du village .

maintenant , en parpaings présentement .

La moitié des femmes de notre douar se sont relayées pour aider mes sœurs absolument dans tout .

Conformément aux directives de leurs propriétaires et même de leurs fils ainsi que de leurs frères .

Tout ceci , selon mes conseils en vu d’être aidé .

La situation des proches passant avant tout :

elles s’y mettaient de bon cœur .

Elles se faisaient passer le mot .

Elles pouffaient de désinvolture ,

Entre elles lorsque elles se rencontraient dans les champs ,elles s’évoquaient leurs nombreux passages à vide ou de chastetés éphémères si vous voulez ,volées à des fatigues d’une rude journée

paysanne .

Leur odeur ,bien connu de vous chers lecteurs , à ,

Moitié effacée par les savonnettes puantes et très bon marché de l’époque .

Elles s’amalgamaient de bon cœur à tous mes hôtes ne leurs octroyant aucun moment de répits .

J’avais conscience qu’il ne fallait m’occuper que de

moi même .

Mes amis , devenus :

à l’avance .

sans aucuns écrits , ma hiérarchie ,me firent visiter mon lieu de travail .

A notre descente ,le directeur par intérim du port de

la ville de Jijel en tomba presque à la renverse .

lui ,natif de la ville , s’est vu expliqué son remplacement , le mois prochain par moi même .

ayant eu au fil des années le temps de le connaître .

Je peux vous affirmer mes chers lecteurs :

que son égoïsme .

sa perfidie .

Sa méchanceté .

Ses excès de colères folles comme il l’ait d’ailleurs et toujours .

Son avidité de pouvoir .

Son avidité à commander .

Ses comportements anormaux , de natif entre les murs .

Tous ses vices devenus légendaires , n’ont pas du tout changés .

A sa première vue ,je me promis , d’en faire mon valet à tout faire .

Pour , cela , je sentais que la besogne sera ardue .

en effet ,comme rien ne peut se cacher à Jijel ,

Je sus par l’intermédiaire de mes amis nouveaux de la ville ,que le soir même :

cet intérimaire , licencié en physique , ameuta toute la ville .

en particuliers :

le groupe à son oncle .

Ce club très fermé :

De bourgeois de la ville .

De fonctionnaires de la capitale .

D’affairistes sans scrupules ; spécialistes des :

qu’on dit-on , des courbettes d’échines par excellence , dans le sens exact du terme .

Des soirées ,entre eux ,males et femelles avec invités de marque :

Sésames pour l’ouverture de telle ou telle porte .

Sésames pour nuire à tel ou un tel .

Ce soir jusqu’à une heure très avancée de la nuit .

on pouvait entendre ;

fracas ,vociférations et éclats de rire .

Le Ricard , le whisky ,la bière ont coulé à flots .

on dut dépêcher au milieu de la nuit son oncle à

s’approvisionner .

leur principal interlocuteur fut un P .D .G . de société nationale qui plaçât ce malade à ce poste .

on le somma de partir le lendemain sur ALGER

pour redresser la barre .

Il fallait à tout prix taper à toutes les portes pour

maintenir le neveu de da Omar à son poste .

On ne pourrait jamais permettre ces transgressions

A nos habitudes .

Ce campagnard ira garder les chèvres comme à son habitude .

A l’unanimité ,on fut tous d’accord .

Là on décèle l’hypocrisie jamais égalée des natifs entre les murs .

Car ,figurez vous que beaucoup d’entre eux les membres de ce soi disant club fermé m’ ont déjà sollicités .

et je peux l’affirmer que l’enracinement de leurs cornes a depuis longtemps atteint son paroxysme .

Ils auraient mieux fallu ;

qu’ ils surveillassent leur Progéniture male et femelle embourbée dans la débauche totale .

Da Omar eut beaucoup de peines à calmer son neveu ,

Une fois son vin cuvé le lendemain .

Il le sût par sa dame ,

que si Mohamed son petit qu’il a lui même élevé de ses bénéfices de débiteur de boissons alcoolisées s’en est prit à quadrupler sa dose quotidienne de calmants .

Il l’a dit .

Il n’en se remettrait jamais si on le destituait de

son Poste qui le pomponnait auprès de ses amis .

A le regarder se pavaner ,

on dirait qu’il se déplaçait sur des coussins d’air .

Tout ceci me fut rapporté par celui qui anticipât ,

Qui montra sa manière de procéder aux métrés ,

sa réelle profession .

celui qui se découvrit :

sa langue de lécheurs de bottes en avant .

Il m’expliqua que l’oncle à si mohamed eut toutes les peines du monde à le calmer .

Ceci comme il lui expliqua dans le souci principal de ne pas réitérer les scènes désolantes d’antan ,

ou il lui fallut le reporter sur la liste de réussite du brevet d’enseignement général .

ceci contre vents marées .

me concernant , en tant que spécialiste de peseurs de forces ,

aucun doute ne vint à mon esprit .

Une fois , mes vacances d’été bien méritées terminées ,

je rejoignais la capitale .

Là, on me fit la morale redoutée , pressentie ,

suite aux différentes entrevues que j’avais eu .

j’avais depuis , longtemps deviné leurs intentions .

on me fit comprendre ,

que les fonctionnaires de l’état sont sous payés .

à regarder les fortes sommes d’argent qu’ils

brassent

à regarder le nombre de familles qu’ils nourrissent .

à regarder , les fortes sommes d’argent engendrées en bénéfices .

à regarder la méthodologie de travail des ports .

à regarder le système de fonctionnement des ports .

à regarder la richesse du pays .

à regarder les exemples d’ex ministres devenus tout à coup gros propriétaires dans leur pays et à l’étranger .

à regarder les facilités données au holding puis au

directoire des ports ,

Pour une gestion au pouvoir absolu .

il est donc tout à fait normal que des idées de capitalistes germassent dans leurs esprits .

Eux qui de longues années ont croupis des années entières dans les maquis du pays .

Eux , qui ont souffert , durant des années entières

dans des bureaux , mal éclairés , mal ventilés , dans des ministères .

pendant les années de socialisme ,

dont le rouge acre s’accentuait d’année en année .

lors de leurs pauses bien mesurées ,

dans les cafés maures du coin ,

là ou puants dans leur crasse ;

cette fois ci ,senteur de labeur .

Il y eut d’interminables discussions ,où ils ressortaient ragaillardit d’un commun accord :

Celui ou aucun d’eux ne méritait son sort .

En pesant sur la balance des services rendus à la patrie .

On ne manquait point de placer sur l’autre plateau

de la balance tel ou un tel, de se sous peser par rapport à lui:

nettement plus gradé qu’eux .

nettement mieux vu ,

mieux écouté ,

mieux considéré .

nettement mieux payé

et donc jouissant en profitant mieux qu’eux .

Pour ces gens là ,

leurs esprits n’a jamais été effleuré pour :

continuer leur bonne cause d’ancien combattant .

nonobstant ,leurs capacités intellectuelles inexistantes :

A gérer les situations pour lesquelles la nation socialiste les a délégués :

Ceci pour services rendus .

Ceci parce que ce fussent les seuls à en tenir les

rennes qui leur étaient appropriées .

Non contents , pour leur majorité .

guidés par leurs épouses embourgeoisées tout d’un

coup .

Pour certaines , leur chasteté contenue peut être .

malgré elles .

Pour certaines nouvellement unies à des quadragénaires ou plus , peu expérimentés .

dans les deux cas issues des mêmes factions tribales

Elles ont été contaminées de la calamité maladive de :

La normalité de l’amalgame .

La normalité d’assouvissement de ses manques .

La normalité de se civiliser .

La normalité à vouloir commander .

La normalité de puissance .

La normalité à s’enrichir à tout prix .

La normalité d’avoir toutes les classes traîner sous leurs pieds .

La normalité à créer leur propre république dans la république qu’ ils ont fait naître selon eux .

la méthodologie de travail qui me fut donc dictée est la suivante :

Elle concerne naturellement tous les ports du pays

Comme leur comptabilité annuelle devrait être vérifiée par notre directoire :

Notre commanditaire .

Il s’agira de travailler sans aucune scrupule .

sans peur du lendemain .

Sans aucune crainte .

Vu , que les défaillances dans notre comptabilité ,

sont commanditées par nos contrôleurs financiers

à nous ,

Nos caïds à nous .

Vu qu’on a beaucoup à gagner .

Vu ,que notre cote part réponds aux critères :

création de l’affaire à traire .

Rabattage du commis adéquat .

Commis à payer pour se faire payer .

Cernement du processus d’étoffage des dossiers :

technique ,comptable , financier .

Moi le djenhi , j’excelle dans ce domaine .

je suis jugé le plus doué .

je suis jugé le plus rentable par mon présidium .

je vous divulguerais plus loin certaines affaires ressorties à découvert .

Cette sortie à nue , voulu par un diable d’ ingénieur

sortant du lot des citadins courbeurs d’échine .

malheureusement , elles furent enterrées .

vous le constaterez ,chers lecteurs , en poursuivant

votre lecture .

il nous est tombé du ciel ,choisi par la wilaya de

Jijel pour :

sa technicité , ses performances , ses prix , et ses

délais de réalisation .

préféré à d’autres entreprises nettement plus riches

et plus structurées.

à l’image de celle de la wilaya .

dès le départ j’ai senti que le courant ne passait pas

entre mon responsable technique que j’essayais d’apprivoiser , et cet entrepreneur là .

mais je n’y pouvais faire autrement .

car il s’agissait avant toutes choses :

de penser à équiper ,mon port à moi ,

ma micro entreprise à moi .

de plus , le cahier des charges du premier port D’ALGERIE et D ‘AFRIQUE , le voulait .

de plus . pour prétendre , à d’autres crédits qui seront alloués en devises bien sur par les pays arabes du GOLFE .

Le gros lot pour nous , qu’il ne fallait pas laisser passer pour ainsi dire et ainsi vous le verrez plus loin ,chers lecteurs .

Enfin ,il me fallait à tout prix rentabiliser l’achat de presque la totalité de la charpente métallique en la cédant à cette entreprise moyennant la réalisation

D’un hangar à titre gratuit .

Le troc fut donc entendu ,et , signé .

La jalousie de mon technicien sans diplôme adéquat tourna à l’obsession .

Il était derrière lui à chaque fois ne lui laissant vraiment aucun répit .

En africanisme au sens propre du mot , il le tarabusta .

L’incompétent qu’il est , a osé s’ingérer dans le montage même de la charpente .

En effet , encouragé par son frère ; le directeur du contrôle technique de construction , il entrprit de lui faire croire à la non conformité de son suivi des plans réalisés et signés par son benjamin .

Selon eux incapables qu’ils sont on devait laisser un poteau de cinq tonnes haut de plus de neuf mètres au gré des vents à proximité des quais tenu seulement par deux boulons donc glissants et coulissants à souhait jusqu’ à l’inévitable chute car la réservation qu’il a prévu ce grand ingénieur est obligatoire .

Je refusais d’obtempérer en scellant carrément les quatre vingt seize tiges d’ancrage du premier hangar .

Quand je débutais le montage des poteaux en question on m’ordonnat d’arreter les ravaux .

On me sermonna de procéder à leur démontage et à la démolition des massifs de béton .

Je refusais catégoriquement tout en essayant de leur faire rentrer dans leur petite que ce genre de méthode ne peut en aucun moment ce type de charpente lourde .

Pour cela il a fallu donner un cours magistral de résistance de matériaux à tout ce beau monde venu de la wilaya de la DTP et autres .

Même en dehors des heures de travail ,dans le marché de la ville .

Il s’en est suivi d’innombrables altercations verbales

Qu’il provoqua à chaque reprise pour que son entourage à lui puisse à souhait :

lui redonner du blason

Tout en pensant tout haut de sa suprématie retrouvée au sein du staff dirigeant du port .

Lors de la dernière dispute , il lui fonçât carrément

Dessus.

Pour empêcher l’irréparable , d’autres gens bien intentionnés s’interposèrent .

Il s’est avéré qu’il l’avait menacer de l’ester en justice , pas plus tard que demain .

Etant donné , que c’était lui le grand décideur de

l’entreprise .

N’ayant reçu que quelques gifles suite aux insultes qu’il profana à son égard , il se précipita le lendemain de bonne heure dans mon bureau .

Il se mit carrément à nu et me proposa d’emblée à devenir mon ange protecteur pour tout ce que j’attendais de lui .

Astuces qu’il a soigneusement enregistrées suite à mes innombrables Sous entendus sifflées dans ses

oreilles .

Donc :

Grâce aux élixirs de da othmane .

A sa jalousie maladive à son égard .

A son sang imprégné de drogue .

A sa maladie du pouvoir .

Il se prosterna à mes pieds pour toujours .

d’emblée , il passa à la vitesse supérieure .

il me somma presque , d’ordonner la présentation de mes trois chèques à l’encaissement .

pour cela il prétexta le retard accusé par l’entrepreneur dans son projet .

je dus m’y soumettre .

Séance tenante je partis sur la capitale .

dans le souci de me dérober à la vérité .

dans le but de référer à mes supérieurs :

L’acquisition totale de notre principal outil de

travail humain .

Dès mon retour ,je lui promis de le bombarder

directeur technique avec effets immédiats sur salaire .

ces trois chèques ont été signés à blanc par le concerné .

leur montant global a correspondu à la

valeur exacte de la charpente .

ma situation basée sur les mensonges , pourquoi

ne pas continuer .

quitte à ce que j’arrivasse à mes fins .

m’importera peu qu’il soit condamné .

je n’en aurai rien à cirer que ses enfants en bas age

soient livrés à eux mêmes .

heureusement pour moi ,

malheureusement pour eux , ils n’ont pas compté sur la bonne marche de la justice représentée par une dame de grande valeur .

Il va de soit que toutes nos tentatives sont restées vaines .

Je me suis heurté à un vrai mur .

Hommage à elle .

En effet .

Il a été vraiment intelligent en lui donnant toute la vérité tout naturellement .

Lors de l’audience , jamais , autant de monde ne s’est rassemblé .

Ameutés par ce picoreur de dragées pharmaceutiques , ce picoreur de dans mes mains .

ces citadins . ces natifs d’entre les murs , se sont

rendus en masse se pourlicher les babines .

en plus de la présence du méchant fou .

Egalement ,il y eut , le métreur , le caissier , et d’autres venus du port dans toutes les voitures de l’entreprise réquisitionnées pour cette grande fête .

ils se sont précipités pour le soutenir dans sa scélératesse .

Dans le but d’être bien vu par leur grand chef technique sans aucune qualification .

dans sa défense .

Il mit l’accent que les montants étaient faux .

car , il a déjà réalisé pour plus de la moitié .

ceci , conformément aux factures qu’il présenta et

conformément au troc .

Facture d’achat de la charpente et contrat troc à

l’appui .

Pour le reste à payer ,il expliqua , qu’il pouvaient la reprendre leur charpente restante vu qu’elle n’a jamais bougé du port , et qu’il allait arrêter les travaux .

Il ne fut nullement condamné .

Tout ce monde sorti ,leur honte ,bien ancrée ; derrière eux .

il pût donc terminer son travail .

Difficilement comme vous allez tout de suite le constater .

il a ainsi tenu sa parole lui .

L’homme aux yeux toujours troubles ne s’en est

pas arrêté la .

comme le nombre des éléments métalliques s’est tout d’un coup retrouvé comme par hasard insuffisant .

Les propositions de l’entreprise à vouloir les substituer furent carrément rejetées par si mohamed

mon directeur technique à moi .

Chose promise , chose due .

A ma rentrée D ‘ALGER , je le nommais en tant que tel .

Dans le souci de l’ évincer , il se fit aider de son

frère .

Aussi , fils de chahida malgré elle .

Son benjamin , en tant que responsable du contrôle

technique de construction .

Il refusa les notices de calcul de changement .

C’est pourquoi il lui a fallu les présenter à la direction générale du contrôle technique .

là .

A CONSTANTINE l’exactitude des calculs fût évidente .

C’est pourquoi son président directeur général le sermonna et l’avertissait .

L’entrepreneur termina enfin à l’aise .

Son marché objet du troc fut clôturé avec toutes leurs malveillances .

Contre vents et marées , il s’acquittât donc avec

l’entreprise en question.

Ma micro république à moi .

Quand il s’apprêta à procéder à l’enlèvement de sa

charpente payée , mais restante .

On l’en empêcha .

Sur l’ultimatum de son ennemi de toujours , on lui

Proposa de réaliser un troisième hangar .

Ceci par encore une fois , par pure jalousie .

Car , selon les rumeurs de ses rapporteurs à lui , ces hypocrites citadins dont parmi eux , son cousin direct.

Il s’apprêterait à la monter , au profit d’un investisseur de JIJEL .

Cette fois ,le concernant , je fus solidaire avec mon directeur technique .

Vu qu’ils ne se parlaient plus .

Il m’a fallu ,mettre sur la table tout mon langage

tribal transmis à vitesse très réduite pour la circonstance .

En fin de réunion .

Il est ressorti nettement vainqueur .

Vu, qu’il s’est proposé à le réaliser :

Selon les prix en vigueur à l’époque .

Je dus accepter .

Il va de soi .

Que le code des marchés publics appliqué pour cette fois ci , mais à moitié , cependant .

Car, il ne fut question à aucun moment ,lors de l’établissement du contrat , à l’attribution d’une

quelconque avance :

Forfaitaire .

Ou sur approvisionnements .

Notre intention son intention à lui :

A Si mohamed , était à tout prix de lui casser les reins

Il s’agira de ne pas lui remettre en premier lieu ;

Ses retenues de garantie de bonne exécution , une fois , notre charpente à nous :

Dûment montée .

Dûment sablée .

Dûment peinte .

En deuxième lieu , il est impératif de lui faire traîner le règlement de certaines dernières factures

Pour .

Après une solution à trouver pour procéder à la résiliation à ses tords exclusifs .

A ce moment là ,selon , mon doux valet à tout faire

Il sortira les poches vides .

Il s’engagea à trouver cette solution d’évincement .

Vu , que l’entreprise portuaire s’en est devenue à la

longue redevable vis à vis de cet ingénieur .

vu, que ses visites se multipliaient , réclamant ses quatre millions de dinars accumulés délibérément

par son antagoniste direct .

vu qu’il ne me donna aucune suite portant sur la

réalisation de tout le bardage de ma villa à des

prix défiants ou si vous voulez :

Décourageants toute concurrence .

connaissant les humeurs maladives et hautaines de supériorité de mon adjoint .

connaissant le tempérament impulsif de

l’entrepreneur , je ne le reçus pas cette fois ci ;

cette dernière fois ci .

je le diligentais dare- dare vers sa grenade dégoupillée depuis très longtemps à son encontre .

croyez moi ou pas chers lecteurs :

Je me levais de mon confortable fauteuil entrebâillais la porte et tendit l’oreille .

quelques secondes plus tard :

j’entendis , des éclats de voix .

Des bruits de meubles .

Des coups et je le devinais de quoi ;

Etouffés et sourds .

S’en suivit une sortie fracassante de mon adjoint

son visage tuméfié et ensanglanté .

Ses yeux fermentés par :

Les poussières .

Les drogues .

Les pleurs à P H très ,très bas à l’image de son cœur .

Il se précipita dans ma direction .

comme tout le monde ,au vacarme , je sortis de mon bureau .

Lui , cet ex grand cadre de SONACOME :

Je le voyais se diriger tranquillement vers sa RENAULT 4 ,qu ‘il possédait dans le temps .

Le seul luxe qu’il est arrivé à dégager par la réalisation des trois plus imposants hangars de

toute la wilaya .

Je le voyais se diriger paisiblement avec la satisfaction honnête et franche d’avoir défendu le pain de ses enfants .

S’ensuivit le lendemain :

L’envoi par le biais d’un huissier de justice de sa

résiliation .

Résiliation préparé à l’avance ; avec décompte général et définitif à notre convenance bien sûr , car figurez-vous , chers lecteurs que le contraire aurait été impossible .

Son interdiction systématique à y accéder au port fût ordonnée par mes soins le jour même .

Donc saisie arbitraire de tout son matériel ainsi que

de tous les éléments de charpente restants .

le lendemain ,également , une société de wilaya a débuté ses travaux .

La conclusion qui vous vient à l’esprit est que et vous l’avez constaté , tout a été orchestré par votre djenhi , votre dévoué , il y a déjà belle lurette sur proposition de mon forcené de signataire de tout , absolument de tout qui me transforme toutes prestations réelles ou non en :

Services faits .

ceci montre la perfidie et la lâcheté des vrais hommes ,de confession tribale .

Cet outil de travail ; c’est à dire ; indispensable à nos planifications de dépassements facturiers .

On doit le préserver ; car déjà utilisé à cet escient .

maintenant devenu :

Un docile , et conscient participant .

Si on devrait rendre des comptes .

Notre culpabilité est toute trouvée .

Mais contre le machiavélique personnage , son

ennemi juré ,il ne pouvait rien faire .

Il s’est soulagé à sa façon pour le moment .

Concernant son du .

Je sais qu’ il ne lâchera jamais le morceau .

Je sais qu’il nous fera poursuivre par :

le peuple .

L’état à nous tous .

Arrivera un jour ou on le payera tous :

Tous les membres de cette micro république vendront jusqu’à leur dernier bouton de chemise pour rembourser ce peuple .

Durant l’année et demi de sa présence dans mon port , cet individu là a eu tout le temps de nous

observer .

Il y avait de quoi .

en effet :

Même , un président de la république ou un roi

n’aurait pu se permettre ceci .

Imaginez vous même chers lecteurs .

Chaque soixante jours environ , on se permettait

moi et mon ami ;si mohamed , devenu mon confident attitré , un périple d’une quarantaine de

jours à travers toute l’Europe .

Tous les pays à vocation maritime y passaient .

A savoir :

POLOGNE .

ALLEMAGNE

HOLLANDE

BELGIQUE

FRANCE

PORTUGAL

ESPAGNE

ITALIE

A chaque voyage , à l’aller et au retour , obligation

devenu habitude , on s’y prélassait à l’hôtel

AURASSI d’ALGER , dans des suites ;

Comme il se doit ,avec serveurs et accompagnatrices .

Dans le but :

Nous :

Un licencié en physique .

Un affreux licencié passe partout de nuit .

Nous grands experts en équipements portuaires ?

sommes les seuls capables à :

Choisir ?

Négocier les prix ?

Nous seuls sommes réellement en mesure à épargner à l’étranger vu .

Qu’on s’allouait une allocation de voyage de plus

de mille cinq cent francs français par jour .

Vous avez fait la conclusion qu’on nous recevait là- bas à bras ouverts car :

L’affreux représentant de la tribu que je suis mandataire d’un pays aussi riche que le notre promettait l’achat

dans un futur très proche de lourds matériels

portuaires .

Aussi , tous leurs tapis nous sont automatiquement

déroulés .

Cependant , on savait :

Quand les crédits qui nous seront délivrés par la

banque africaine de développement nous seront

alloués .

Ou on s’apprêtait à acheter ce matériel en question .

à chaque fin de périple :

C’est à dire durant presque deux années consécutives , chaque soixante jours moi et son gendre on faisait un crochet chez lui en :

BELGIQUE .

Lieu de son exil ,cet ancien P D G de société nationale .

Devenu ,grand exportateur vers son pays d’origine de produits laitiers en l’occurrence .

Les différents contacts eus avec d’innombrables

Constructeurs navals de plusieurs pays d’Europe

N’étaient que du cinéma .Etant donné la méthodologie de passation de marchés que notre

présidium à nous voudrait nous faire faire .

Il doit s’agir :

D’acquérir du matériel maritime à très bas prix .

Dans ce cas là précis :

L’alternative est :

de chiner du matériel réformé , le retaper en le maquillant en neuf .

Procéder à la révision des moteurs .

L’opportunité m’a été donné par cet ancien cadre du pays .

Il s’est offert à nous ficeler tout cela sur un plateau

lui qui a maintenant pignon sur rue en Belgique .

Car devenu un grand propriétaire dans ce pays .

Car devenu un grand homme d’affaires .

Les gros capitaux utilisés dans son pays d’accueil ou si vous voulez chers lecteurs ; de cache ont été

dirigés depuis belle lurette à partir de son pays d’origine , et ce durant tous ces mandats accumulés dans ce dernier .

Ces remarques touchent absolument tous les cadres supérieurs de l’état qui tout à coup :

Suite à une démission .

Suite à une retraite bien méritée selon leur dossier administratif à chacun .

Suite à une retraite forcée .

Suite à une fuite soudaine , conséquences d’un

règlement de comptes pour partages de profits qui

s’annonce .

Le cas de notre ami flamand devenu sur ces nouveaux papiers , est ce dernier énoncé .

L’origine de leur capitaux est tout à fait légal juridiquement parlant .

vu qu’aucun trou ne pourra être décelé .

Etant donné l’existence de dossiers comptables .

Mais si on se voudrait se pencher :

Sur la réalité des choses

Sur la conformité de la réalité des choses .

Sur la réalité de leurs tractations financières

connues du commun de nos concitoyens .

Cet argent donc emmagasiné à l’étranger est le leur

car son propriétaire :

Le peuple , représenté par l’état , ne sollicite pas sa contre partie .

En vous expliquant un cas très simple et facile .

des broutilles en quelque sorte .

vous assimilerez le topo .

j’ai libellé un cheque de cinq S de dinars à un très proche parent pour l’achat d’une voiture qui n’en

valait pas sur le marché un seul S de dinars .

la facture fut dûment archivée .

idem pour la sortie d’argent des caisses de l’entreprise .

chers lecteurs , djeha : si othmane l’a voulu sur la

destinée des quatre S de dinars disparus des poches du peuple .

Pour notre cas précis , de Belgique , taches suivantes lui ont été allouées .

Acquérir à des prix défiants toute concurrence :

des clarcks de très fort tonnage,

Des portes conteneurs .

Des grues de fort tonnage .

un ou deux remorqueurs .

Notre complice du moment , à qui on avait rien à

apprendre nous dicta lui même la marche à suivre

pour une efficacité optimale .

Le processus d’élaboration de ces expéditions doit

Suivre les rigoureuses règles suivantes .

L’erreur est interdite .

Des millions de francs français sont en jeu .

S’informer au niveau du port de ANVERS , là ou les équipements sont utilisés à outrance .

S’instruire sur ceux en voie d’être réformés .

Se les acheter pour une bouchée de pain .

Contactez les boites douteuses spécialisées sachant se taire , pour les leur acheminer vers elles , ces équipements à restaurer et à maquiller en neuf .

Important et indispensable l’envoi de ces équipements accompagnés de dossiers d’expertises

Dûment ficelés .

Le seul hic :

Et il était catégorique sur ce point .

Les sociétés écran qu’il aura délégués devraient

Etre payés à l’avance :

C’est à dire à l’embarquement de la même marchandise en Belgique direction ,l’Algérie .

Ou à défaut , dès , réception des équipements à

Djendjen .

Pour ,cela , le déblocage du crédit documentaire

Se fera après expertise des dits équipements une fois ,débarqués au port .

Il contacta , lui même , un bureau d’experts bien

Attitrés déjà de son temps , mais pas plus qualifiés

que nous , pour :

ficeler , cacher , confectionner les dossiers adéquats de couverture au cas ou .

ce qui devait arriver arriva .

En effet , lors de la mise en service de certains d’entre eux , il se passa des choses étranges .

au premier coup de démarreur ;

un panache de fumée l’accompagnait .

Le hangar que construisit notre antagoniste direct

de dix mille mètres cube s’emplit d’un nuage

dense et noirâtre , empêchant tout le monde de

respirer .

Ne parlant pas , des gargarismes assourdissants

du moteur .

S’ensuivit , une panique générale .

on fit appel aux chefs .

Les deux plus hauts gradés accoururent .

Leur regards en disait long sur leurs pensées .

Ils ordonnèrent à l’ingénieur mécanicien concerné

de faire son travail .

Je lui commandais de m’établir un rapport dans ce

sens .

Lui , en bon technicien qu’il est , tout en devinant

au fond de lui même la cause principale de cette

anormalité .

Le soir même , il fit des confidences à ses amis .

De ses dires on pouvait comprendre la vérité

Flagrante .

Le moteur en question est vieux .

Pour le démontrer à ses supérieurs et croyant bien

faire :

Il débuta son investigation technique pour essayer

de prouver à ses chefs ses conclusions .

Pied à coulisse et brochure technique à la main ,

Il procéda comme il se devait , à la mise à nu du moteur parmi tous les équipements défaillants qui ont été nouvellement importés .

Comme , il l’avait préconisé , il constata en réalisant les mesures qui s’imposaient .

Que le vilebrequin a été déjà rectifié .

Il en est à sa seconde cote .

Le taux d’usure , des coussinets et des bagues de

Bielles est très avancé .

En conclusion , et ce fut inscrit dans son rapport ;

L’entreprise portuaire de djendjen a bel et bien importé des vieux équipements maquillés en neuf .

Selon l’ingénieur mécanicien :

Il était impératif de ne pas payer ces équipements .

Qu’il fallait ordonner l’annulation du crédit

documentaire .

S’il avait su à ce moment que tout le monde .

Absolument tous les participants ont été réglés .

Et ce le mot juste à employer dans ce genre

de transactions .

Qu’il fallait à tout prix les rendre à leurs propriétaires tout en leur demandant des dédommagements conséquents .

Dans sa naïveté et à l’entendre dans les cafés , suite

à ses déclarations , on croirait qu’il avait découvert

Quelque chose de surnaturel .

Quand il s’est proposé à désosser les autres machines ; alors là , il devenait vraiment gênant .

Surtout .

Quand les services de police ont eu vent de l’affaire

A Jijel on ne parlait plus que de ça .

mes informateurs de la place même m’ont

En fait part :

Ceux qui s’apprêtaient à ouvrir une enquête .

Comme dirait le proverbe .

Mieux vaut prévenir que guérir .

Cet ingrat n’a pas voulu fermer son bec .

Moi qui l’ai embauché , moi qui lui est procuré une situation des plus stables .

L’ingrat qu’il est . Il s’apprête à m’enfoncer sans le savoir .

La solution radicale pour faire taire les fauteurs de

trouble , les rabats joie est toute trouvée est depuis longtemps connue .

A sa venue , le lendemain , il tomba des nus .

Figurez vous que mon dévoué l’a reçu avec sa notification de licenciement .

Il lui expliqua , néanmoins qu’il pouvait ester

l’entreprise en justice pour obtenir des indemnités

à coup sûr .

comme ce fut le cas des dizaines et des dizaines de ces prédécesseurs .

il lui fit également savoir que cela signifiait un non

retour vraiment définitif .

Quelques soient les décisions de justice qu’il pourra obtenir .

Donc , moi le djenhi qui me tenait tout prêt d’eux ,

j’ajoutais , quand j’ai perçu un soupçon de désaccord , d’échauffement ,de sa part à l’annonce du motif de licenciement énoncé et qui était :

La divulgation de secrets professionnels .

Qu’il pouvait le crier tout haut ;

On est au dessus des lois et on le sera toujours .

En effet ,l’enquête vînt très , très tard comme

Convenu avec mes cohabitants des djebels

Avoisinants , lors de nos rencontres journalières

Dans des cafés maures bien attitrés à nous seuls .

Le temps souhaité me fut alloué jusqu’à :

Seconde révision , ou peut être la deuxième ou la

troisième ,du moteur en question .

Parachèvement du démarrage au quart de tour de tous les autres restants .

Confection d’autres dossiers d’expertises bidon ne laissant aucun doute sur les équipements importés à propos de leur sortie d’usines directes .

L’enquête , dépêchée donc pour la forme arriva

A la conclusion que tout absolument tout fut normal .

Vu que ils purent voir de leurs propres yeux les équipements en question en très bonne état de marche .

En conséquence leurs dossiers furent

soigneusement ficelés comme il se doit .

Aucune enquête ne fut ordonnée à ce sujet par la justice .

J’ai entendu dire que ce diable d’entrepreneur à

L’époque était auditionné par le juge d’instruction .

Au sujet de la réalisation d’un puits d’eau potable et de l’acquisition d’un véhicule de tourisme vieux de trois années pour l’entreprise , achetée à un très proche parent .

Plainte qu’il avait déposée auprès de la justice deux

Années auparavant .

A ce propos ,il a voulu essayer de nous enliser davantage .

Le perfide personnage n’a pas raté l’occasion de le

lui signaler .

Le juge en question , a failli le jeter en tôle , alors que lui même , lors de sa première audition l’avait sollicité de lui ramener toutes informations susceptibles de couler les gens de l’entreprise

Portuaire .

Entre temps ;

Que s’est il passé .

On me le fit savoir , qu’il a presque faut dans son froc .

Là , il comprit que la partie était définitivement perdu à l’avance.

Ce magistrat qui était réputé sévère .

Connu pour son absence de prise à partie pour qui

Que se soit .

Je me rappelle qu’il avait envoyé dare -dare au mitard un très respectable citoyen de bonne famille et père de plusieurs enfants .

Le pauvre chef d’antenne de la météo de la wilaya

de Jijel qui avait utilisé sans le savoir une très petite

somme d’argent de l’antenne mais qui s’en est aperçu à temps de son erreur , s’est vite empressé de procéder à la restitution du dit argent .ceci bien avant que son antagoniste direct , un bonhomme de chez nous , s’empressa d’aller directement chez le juge d’instruction .

Donc bien introduit il se catapulta à son poste .

La conclusion qui me vint à l’esprit , est que la renommée qui tournait autour du juge est de suite non fondée .

Par personnes interposées de chez nous , et de la capitale même , je ne me souciais jamais et à aucun moment sur les issues des suites de mes auditions.

Mais ,intelligent et fort qu’il est ,il n’a à aucun moment lâcher le morceau .

Au contraire ,il a aussi mais légèrement élevé

La voix pour donner directement le nom de l’ingénieur , licencié depuis , le responsable constateur des anomalies techniques .

Dans d’autres cieux il aurait été décoré .

Malheureusement , chez nous , grâce à nos tribulations tribales , on s’est bel et bien assuré

Une place au soleil .

Seulement ,je sens que je serais pris au dépourvu

A la parution de ce manuscrit .

Il me faudra anticiper et prendre la poudre d’escampette avant qu’il ne soit trop tard .

Je compte rejoindre mon pays bienfaiteur :

La Belgique , malgré la triste disparition de mon

nouvel ami ,citadin de nativité , mais : djebeliste ,

D’après ses agissements , son ascension , sa fuite sans retour sur pieds , après son dernier coup .

Au même titre que nous ,sinon nous dépassant de beaucoup .

Ceci est bien dommage ,car j’ aurais pu apprendre davantage de belles choses .

Ces vrais amis , natifs d’entre les murs comme lui

Se sont certainement demandés ce qui s’est

véridiquement passé entre nous : quand l’ai je connu pour que je sois

vraiment aux petits soins avec ses proches

lors de son enterrement .

A force de ne pas lâcher son brancard des mains

Au cours de tout le trajet funèbre j’en fus malade et j’ai failli y trépasser à mon tour , à cause de mon taux de sucre qui monta en flèche .

Tout ceci pour le remercier encore une fois .

Cette fois ci vous l’avez deviné chers lecteurs :

Ce ne sont que des remerciements gratuits .vous arriverez à la conclusion en lisant tout ce qui suit , comment nous groupement d’entreprises à statuts privilégiés ,

rendus par notre directoire :

C’est à dire actionnaires dans une illégalité

transparente mais autorisée .

Donc ,moi dans mon détachement ;

projet en pleine construction ;

et en pleins équipements ,

Je renvoie à ma guise et enterre tout ce qui se mets en travers de ma route , absolument , sans aucune scrupules , sans aucune pitié ni pour eux , ni pour leurs enfants .

A l’image d’un malfaiteur qui pris la main dans le sac usera sans réfléchir de n’importe quelle arme lui tombant sous la main .

A nous notre arme c’est tout simplement le licenciement direct de notre antagoniste quitte à le dédommager substantiellement par la justice avec l’argent du contribuable .

On n’attachera aucune importance vu qu’il n’y aura pas lieu de se présenter chez un juge d’instruction pour y déposer .

grâce à dieu : SOUBHAN ALLAH .comme se plait à le répéter un grand ami de mon bled et très proche parent , avocaillon de profession ,

qui d’ailleurs me doit tout :

Sa réputation , et sa richesse est à porter à mon crédit :

Aux pourcentages des surfacturations qu’il a obtenu vu ,qu’il nous a toujours représenté auprès des tribunaux .

Ce fut , l’un de mes premiers à être rabattu par mes soins .

Maintenant ,c’est mon commis à moi seul , car depuis l’apparition de coups nettement plus juteux , on me l’abandonna .

Je disais donc que la déduction qui vous sautera aux yeux est :

Le banditisme de grand chemin n’a qu’à prendre sa retraite .

La maffia n’a qu’à se constituer volontairement

prisonnière .

Car ,nous ,on est en train de s’enrichir en :

puisant à volonté sur les budgets que nous alloue l’état .

Donc illégalement .

Mais officiellement , vu que considérer légalement par toutes les institutions de l’état car :

Pour toute dépense correcte ou incorrecte ; il existe des dossiers .

Les tentatives d’accusation émanant de ce diable d’entrepreneur sont bien sur restées vaines .

il l’a eu à ses dépens .

on ne l’a pas payé pour les travaux qu’il a réalisé à

djendjen puis à Bejaia .

Concernant ce dernier port ,

lors de nos rencontres hebdomadaires à l’hôtel AURASSI , avec copieux banquets , et hôtesses accompagnatrices à souhait , pour moi même et pour certains , le tout bien arrosé comme il se doit

seulement , pour tous les autres , tous à majorité kabyle .

Le tout ,vous l’avez deviné , aux frais de la

princesse .

D’un commun accord .

On a décidé sur ma proposition de revanchard assoiffé

Car mon image de marque a été sérieusement

vilipendé .

Pour les dénonciations qu’il a faites à la justice .

Ces accusations rapportées , ont nuits à jamais à la prospérité de notre FAMILLE à nous .

Ce préjudice engendré , entraînera sans aucun doute

le déclin de Notre république à nous .

On devait à tout prix l’en empêcher .

On arrêta ce qui suit . impératif donc :

De lui briser les reins .

De le saigner à blanc .

Pour cela : malgré les avantages que sa

Soumission technique a octroyé au port de Bejaia ;

en effet :

Ses calculs ont donnés une nette économie de plus de quarante millions de dinars d’économie par rapport à ce qui se faisait avant avec les Hollandais.

sans aucune dépense de devises étrangères .

Pour cela il fut convenu de procéder ainsi .

lui attribuer le marché car :

Un dossier technico administratif devait être

obligatoirement dressé au cas où .

On ne sait jamais .

J’insistais beaucoup sur l’impondérabilité du

personnage .

Individu qui n’a peur de personne .

Qui ne mâche pas ses mots .

Qui a toujours craché la vérité à la figure des gens .

En guise d’anecdote sur ;

L’inconditionnalité de l’homme , je les informais qu’il n’a pas hésité une seule seconde à porter en ridicule son propre cousin :

Mon conseiller technique à moi ,dont je le fais obéir au doigt et à l’œil .

Parce que plus grand fayoteur que lui ;

je n’en ai encore pas rencontré dans ma vie .

croyez-en mon expérience .

Dans leur famille :

Soit , ils appartiennent à l’ensemble des minima .

Soit , ils appartiennent à l’ensemble des maxima .

C’est le mieux qualifié techniquement .

C’est le moins disant .

toutefois il était impératif de lui étoffer un marché

sur mesure .

Le marche en question devra le briser financièrement

En procédant ainsi .

Ne faire aucune allusion au décret présidentiel du

24 .07 .2004 . sous le numéro : 02 .250 .

Au contraire , il devra être monté de toutes pièces

selon le règlement intérieur de la micro république

du port de Bejaia .

En l’occurrence :

Lui fractionner son marché en deux parties .

Lui exiger l’apport obligatoire d’une caution de

garantie portant sur tout le montant du marché .

Lui exiger une retenue de garantie de même taux que la précédente c’est à dire exactement la même mais en double donc .

Lui exiger la réalisation de la seconde partie du marché ,en totalité ,tout d’abord , pour prétendre à un quelconque paiement .

Laquelle , qui normalement selon la logique des choses aurait dû se faire seulement après la

première ou en parallèle avec celle ci .

Tout ceci avait constitué une partie de ma revanche.

En vu , de le pousser à se désister de la réalisation de son contrat .

Dans ce cas précis là , son travail aurait été attribué

au second classé après lui .

En l’occurrence un très proche parent de l’adjointe au beau selon ses fréquentations directeur technique .

Etant donné qu’il fut plus disant que lui ,de plus du

double .

Donc ,empressement sollicité par la sœur de sa

légitime .

Il leur donna son accord et se prépara à mon insu à

consulter , en vu d’importer mes dites pièces .

Dans l’autre cas précis , me concernant :

j’en étais sur de son déroulement connaissant :

l’ardeur dans le travail de l’ingénieur en question .

Son âpreté à remonter la pente .

Je savais pertinemment qu’il foncerait dans le tas

en choisissant de travailler

Il n’avait bien sûr pas le choix .

et heureusement pour moi c’est ce qu’il fit .

En tapant à toutes les portes .

En obtenant , ainsi un prêt bancaire .

Chers lecteurs vous saurez plus loin que le défi

relevé par ce gros travailleur n’a pu être tenu à

cause de qui , à vous d’en deviner les responsables .

Il l’a eu à ses dépens donc .

Actuellement , il est en train de se démettre en justice

Au niveau de la justice à Bejaia . je ferais des pieds et des mains pour le faire débouter.

Vous avez compris que tous les dirigeants de notre

république , coordonnés par moi même , allons tout faire pour le faire échouer dans ses tentatives de récupération de son dû .

Car , nous , lorsqu’on est acculé ,lorsqu’on désire

nous traîner en justice pour malversations ;

au même titre qu’un cambrioleur ,qui soudainement

démasqué , s’enfuit .

au même titre qu’un terroriste encerclé .

au même titre qu’un braqueur de banque ,en fin de

son coup .

on ne fait aucun cadeau .

on tire sur tout ce qui bouge .

on emploie ,tous nos moyens humains et financiers

humains :

on fait intervenir nos représentants de nos branches

tribales ,moyennant finances .

finances ,qu’on s’est adjugées par nos lucubrations comptables .

Exceptionnellement .il a fallu sortir la grande artillerie , dans le cas du foreur de puits du village

de TAHER .

de chez nous , rustre : borné : filou .

Il a voulu prendre beaucoup plus que ce ne fut

convenu .

On refusa , puis on l’esta en justice :

notre bien aimé outil de travail pour faire mordre la poussière à plus d’un .

Le verdict c’est nous qui le traçons à l’avance .

Quand , il recommença à nous manger dans la main

quand on allait le coincer , c’est à dire :

Qu’il accepta sans broncher à me forer à titre gratuit

mon propre puits dans ma grande villa du village de SIDI ABDELAZIZ .

Néanmoins sachant , à qui il a affaire , il se garda de Remplir son contrat , en gorgeant mon puits , la nuits , de plusieurs citernes d’eau .

Comme à son accoutumée , il se faisait grassement payer par des fellahs rendus contents pour une

durée Ephémère .

Son cas fut naturellement facile, car personnage illettré ,

encore dans sa Puanteur de toujours ,

maniable aisément par ses maîtres .

Mais tout d’un coup .

Le coup de théâtre dont j’ai fait allusion plus haut survient .

Je fus placé sous contrôle judiciaire .

Mon passeport confisqué .

Ma femme et mes enfants en pleurs .

Mon foreur de puits détenteur d’un paquet de convocations .

Il commença sur le champ à me faire du zèle .

Il entrepris de me faire chanter .

Je dus lui débourser plusieurs sommes d ‘argent dans le but de pousser à déposer favorablement auprès de la police et du Juge d’instruction en ma faveur .

Comme convenu .

Il le fit .

Les sommes qui lui ont été sur allouées considérant ce qu’il a déjà perçu en surfacturation de son travail pour son silence , ces montants là furent décidés par le présidium du directoire eux mêmes .

Car conscients , nos cerveaux , qu’ils seraient immanquablement pris dans l’engrenage d’une noyade certaine .

Ces sommes que je retirais de mes poches me seraient bien sur remboursées lors des opérations de surfacturations en cours ou à venir dans telle ou telle micro république .

Malheureusement notre affreux personnage devint

De plus en plus gourmand .

Car , son mode de vie à lui , coûtait très cher .

Lui , ne se souciait guère de sa famille .

Représentant , de notre majorité tribale :

Celle qui a peuplée les djebels du temps du terrorisme .

Celle qui peuple les marchés des trabendistes de toutes sortes .

Celle qui peuple les gourbis aux alentours Des villes et des villages .

Celle qui peuple nos camps d’incarcérations .

Celle qui donne le plus de travail aux institutions :

Police , gendarmerie , justice , douanes ,

administrations diverses .

Ces dernières institutions nobles , s’étant amalgamées à eux , ont trouvées leur image ternie .

Comme qui dirait :

Qui touche à la merde pue .

Notre maître chanteur à nous tomba dans le panneau

A proximité de l’un des cabarets ou il s’imaginait mener la vie des grands :

La vie des grands caïds .

La vie des souteneurs .

La vie des richards .

En un mot et vous m’avez bien compris chers lecteurs ;

La vie de ceux qui ont réussis ; dans ce monde qui

Est le notre dans le sens véridique du terme .

Ce monde à l’envers comme le qualifierait le commun des mortels .

Ou l’on s’empiffre de bonnes choses sans savoir :

Se tenir à table .

Sans savoir se Tenir même une fourchette et un couteau .

Sans savoir Parler tout simplement .

Sans savoir S’habiller .

Sans savoir Se laver .

Sans savoir Apprécier les saveurs des alcools .

Il se fit tout bonnement assassiné .plein comme une outre .

Ce crime porta l’étiquette d’un forfait crapuleux .

Cet incident , arriva , car il devait arriver.

Ma belle étoile à moi ,

Mon marabout à moi , da othmane , en y mettant les Bouchées doubles :

nuits et jours , on l’a aperçu

Les deux mains levées au ciel .

Il refusa des dizaines de visites .

On comprit que quelque chose de grave allait se passer .

Se connaissant capable de tout pour éviter une noyade certaine à son protégé , l’affreux de parmi nous se fit payer substantiellement pour ainsi atteindre le personnage devenu dangereux à éliminer .

Il le toucha à des kilomètres de distance en le poussant à ;

S’empiffrer ,

A provoquer , à insulter , à peut être soutirer de l’argent à ses compères .

Le couperet en est tombé ,

car la sanction de ce milieu là dans ce type d’alternative :

C’est la mort .

La gloire primant .

La gloire sous la clé .

Il fallait maintenant s’occuper de ce diable d’ingénieur .

On se promit de le traîner en justice après un acquittement promis à long terme .

Maintenant ,il s’agissait de le faire couler à pic .

Terme appris malgré moi , étant dans le domaine maritime .

Pour cela :

Sous les directives de mon valet à tous faire comme

Je l’ai dit plus haut .

je dus accepter et me soumettre à toues ses jérémiades .

l’idiot du village :

Pour l’avoir laissé gouverné .

Pour pouvoir ainsi arriver à mes fins .

Pour avoir pu accéder à d’autres rentrées de devises

à notre consortium .

Je fus donc obligé de me plier à tous ses caprices .

Ils furent nombreux .

vous en décompterez par vous mêmes leur grand nombre .

Il va de soi et vous en avez certainement fait la

déduction qu’il fut inclus dans notre grande

FAMILLE .

La tâche la plus ardue que j’ai eu à accomplir

Dans le domaine d’embobinement de personnages

Pour les faire picorer dans la main ,c’est celle

Entreprise avec ce méchant mohamed .

Je l’ai gagné ce grand match .

Figurez vous , chers lecteurs , que depuis le jour de

Mon installation , il me déclara la guerre .

Il refusa sur le champs de se soumettre à mes ordres

Il s’enferma des journées entières dans une pièce de

Quelques mètres carrées .

Déchirait des quantités énormes de papier ;

qu’il froissait suite à des erreurs de rédaction .

Chaque jour ,en fin de journée ,il sortit comme un ours mal famé qu’il a toujours été ,une ou deux

lettres en poche ;

qu’il s’empressa le soir même à poster .

Les destinataires de son courrier en l’occurrence

Les services de police ,

de gendarmerie ,

de wilaya ,

Du ministère ,

et même de notre holding ,

m’en faisaient à chaque fois part .

Etant tous mes amis de fraîche date :

Du parti en vigueur .

En effet ,lors des différentes réunions ;

Introduit par les responsables d’Alger , et maîtrisant

Plus ou moins la langue officielle du pays , je pus dans ce royaume des aveugles , m’imposer le plus

aisément du monde , dans notre mouhafada .

De même confession tribale .

Ou citadins en quête de recrutement pour leurs proches .

Comme se faisant passer le mot ;

ils les jetaient aux Oubliettes .

Dans ses écrits , il essayait de faire ressortir les faits suivants .

L’injustice perpétrée par :

Son remplacement en tant que directeur ,

de son dégradement donc .

N’en parlant pas de la risée de tous à quoi il est à

Chaque instant soumis .

Lui , grosse tête par excellence n’arrivait pas à comprendre cette tournure anormale des choses .

Lui ,plus qualifié que moi ; chose certaine .

Lui parachuté en premier à ce poste .

Lui , fils de chahida ;

En effet , accidentellement elle fut atteinte par une balle perdue française dans le couloir commun a plusieurs habitations cantonnées par l’armée

française

En ce qu’on a appelé ; village nègre .

Lui ,qui s’est tué au travail .

En effet trimant comme un nègre , il fut le principal

Instigateur à l’expulsion systématique des occupants Des surfaces portuaires.

Nonobstant les innombrables écrits ou sommations

Et le mot est exact

Qu’il a maintes et maintes fois Adressé aux concernés eux mêmes et à toutes les

Autorités locales .

Il s’est même dépensé physiquement :

En leur proférant des insultes

en se prenant comme à son accoutumée pour le

grand chef .

En leur balançant à terre de ses propres mains leurs

Marchandises .

En quelque sorte il a plusieurs fois donc fait le docker sans qu’il s’en rende compte ; l’idiot du village .

Il a risqué à plusieurs reprises que les propriétaires des camions à qui il a tout bonnement crevé les pneus ne le rossèrent .

Maintes fois il échappa de justesse à une casse certaine .

Pour éviter le pire ,tous les occupants du port se

sont adressés au maire de l’époque .

Il les a compris en leur attribuant des lots de terrain

Dans la zone industrielle de jijel.

Les responsables du holding d’antan essayèrent de l’obliger à démissionner .

Malheureusement pour eux qui ont commencé à me préparer le terrain en le balançant la tête la

première dans ce merdier d’expulsion de ces

artisans

L’idiot du village qui avait les plans de réalisation du nouveau port de djendjen .

L’idiot du village qui avait sous les yeux les différentes décisions d’occupation future du port de

Jijel par les forces armées navales .

Il n’a pas voulu en démordre dans ses tentatives

honteuses .

Voulant à tout prix plaire à ses responsables qui se jouaient de lui .

Hanté par son ambition et son désir fou à vouloir commander aux gens .

Il continua dans sa lancée de justicier d’occasion .

De sonelgaz , il démissionna , car n’ayant personne

A sommer .

Ceci explique sa hantise de la profession de débardeur des docks .

Puisque c’est lui le préconiseur principal pour le

Licenciement de dizaines de dockers .

Le seul motif qu’il évoqua à chaque fois fut :

Une incompatibilité d’humeur .

Mais j’en connais la cause .

C’est cette obsession qu’il a à vouloir faire prosterner les gens comme pour votre serviteur .

Cette situation engendrée par l’accumulation de ce type de décisions a encore terni davantage mon

image de marque .

Tout ça a créé un élan d’antipathie en plus à mon égard suite à une grève déclenchée par des écartés délibérément de leur poste par si mohamed bien sûr et définitivement .

Et conformément à mon visa .

Car donnant donnant je devais fléchir .

mais intégrables administrativement parlant selon

des décisions de justice .

Pour me toucher moi , il fallait taper plus haut .

il faut taper à la seule porte de la vraie présidence

de la république .

Le seul à l’avoir bien interprété est toujours ce diable

de cadre métallurgiste de métier .

Il a déjà essayé de divulguer le pot aux roses .

malheureusement pour lui :

Son écrit a été tout simplement intercepté par un ami de toujours originaire de la tribu de kaous .

du secrétariat à la présidence , la vraie .

Le rapport en question fut subtilisé .

Il me le remit personnellement , sans qu’un suivi administratif le concernasse .

Le comble de tout cela ,

moi le djenhi je l’utilisais pour appuyer ma plainte

en bonne et du forme d’un poids présidentiel lourd

à son encontre pour :

Dénonciation calomnieuse .

Seulement , je dirais , que la vraie vérité a primée

lors de ce procès .

Terme que ce diable a judicieusement disserté dans sa plaidoirie à lui .

Ceci , malgré ma tentative de corrompre son

avocat ,vu qu’il flaira l’astuce .

Heureusement pour lui que le juge en prit note de

ma mauvaise intention .

Se rapportant à la partie civile , conformément à

mon dossier me fut acquise à cent pour cent .

grâce à dieu si je me permets d’utiliser cette expression pour les rares fois de ma vie à bon escient .

Dans notre pays :

Il n’y a pas que des mal intentionnés .

Il existe des hommes de valeur .

Pour qui leur travail , leur assermentation passe avant tout .

Je les en félicite à contre cœur .

Ils l’acquittèrent tout simplement .

Tous les pleurs de petite fille ;

ou si vous voulez la signification exacte à l’algérienne de ces pleurnichements

c’est à dire ceux de femmes de faibles moeurs que

j’avais versé n’ont servi à rien .

Pour la première fois de sa vie , il s’est vu traîné

en justice par votre dévoué président directeur général , spécialiste et adepte assidu en (roukiats) de tous genres .

Institution à ma disposition tout le long de l’année ,

Mon outil de travail préféré ;

Pour :

pour en dénouer n’importe quelle affaire à ma

convenance .

L’histoire des faits s’échelonne .

Elle est bien là .

Vérifiera qui voudra leur authenticité à chacune .

Ce démon là , je me suis juré de l’enfermer pour un

bon bout de temps .

Comment a t il osé donné l’occasion aux autorités locales à me soupçonner , à douter de moi une seule fois .

Nos rencontres à chaque fin de journée , chez un épicier préféré par tous par habitude ou je ne sais pourquoi , étrenner par des embrassades stridentes

à chaque fois , me sont devenus très pénibles .

Il y avait de quoi .

Vu que ces autorités là m’ont confisqué mon passeport jusqu’à aboutissement de l’enquête .

car dans mon port à moi .

Il peut toujours courir .

Surtout à Jijel .

Ville ;ou je décide sur tout .

Ou tous les magistrats de l'époque , ont été co- universitaires de nuit avec ma modeste personne .

Ou sinon sont miens pour certains , leurs collègues directes , mes cohabitants du dehors : natifs tous d’entre les buissons ,donc , tributaires en bloc à n’importe quoi

Nous nous rencontrons chaque soir .

Nous nous invitons mutuellement .

De ce fait cet ingénieur là s’est vite cassé les dents .

Vu ,que pour mes forbans de co- acolyte .

tant qu’il n’y a eu aucune preuve tangible :

Car selon les services enquêteurs :

Ceux là : tous trempés dans notre mienne de

puanteur

Se contentent vraiment de peu .

A l’image du principal , qui est arrivé à me faire

faire embaucher deux de ses gendres .

A l’image du statueur ou boucleur final , de ce

travailleur peureux qu’il est car , son incompétence peut le faire dégrader ou muté à tout moment , le hante et le hantera toujours .

Il ne s’est contenté le pauvre que d’essayer d’effleurer à goûter à un soupçon de contentement physique en obtenant de moi même l’autorisation à patauger dans la petite plage de mon port en compagnie de sa seconde épouse ;

Sa seconde voiture flambant neuve garée à proximité de sa vue .

Toutes mes tentatives d’arriver à nos fins , moi ainsi que tous les membres de notre république à nous , sont restées vaines pour le briser.

J’ai beau essayé :

En n’ayant pas tenu parole , en ayant présenté ses

chèques à l’encaissement .

en lui ayant bloqué son argent ; c’est à dire quatre millions de dinars ,

il n’en a jamais vu la couleur .

En l’ayant traîné en justice pour coups et blessures

a l’encontre de mon protégé .

Pour l’épauler comme il se doit , j’ordonnais à pas

moins de quinze témoins à charge .

Parmi , eux quelques citadins courbeurs d’échine .

Les autres , constituaient , une partie de mon village , en bas de mon djebel de nativité .

Tout ce beau monde malveillant alla déposer à la barre .

Des OUKSSIMOUS BILLAH , les Juges , ils ont en entendu à la pelle .

Qui paya , ces employés de l’entreprise ?

Qui , régla les avocaillons attitrés ou non ?

A vous d’en faire la déduction chers lecteurs .

En voulant l’enfermer à tout prix ,lors de ma plainte pour dénonciation calomnieuse à son encontre .

Dossier qui fut judicieusement alourdi par un courrier présidentiel crapuleusement détourné par qui vous savez .

Hasard oblige , pour sensibiliser le Juge du jour , sans aucune peine , je le fis déposer pour le même motif contre un pirate d’eau potable qui a assoiffé ses enfants durant trois longues années .

Ayant eu vent , qu’il n’a pas pu honorer un chèque d’intérêts j’ai décidé de le piéger par mon ancien ami de toujours un huissier de justice , le dénommé maceri ne carburant qu’aux pots de vin dans le cadre de son travail et ceci est connu de tous à JIJEL .

Multitudes de cas pourront vous être cités à son sujet .

Cet ami comme à son accoutumée se livra à tout simplement le faire chanter en lui soutirant en plusieurs versements pas moins de cent vingt mille dinars en environ cinq mois sans pour cela lui notifier quoi que se soit .

Cependant le diable en question honora sa soit disante dette , en réglant son client , l’usurier à qui j’ai promis à l’un de ses fils terroristes et trafiquants de drogue notoires un poste de travail dans mon entreprise .

Néanmoins , il le fit payer par un notable de la ville devant la mosquée là , ou il , nous avons l’habitude comme moi même d’ailleurs , d’effacer nos péchés à raison de cinq fois par jour .

De peur d’être victime d’un dernier chantage de lui débourser pas moins de sept pour cent du total de la somme , il le paya par une tierce personne .

Comme ce fut convenu entre nous , il ne lui rendit pas le chèque en question .

L’affaire est actuellement auprès de la cour suprême vu que , à JIJEL ma ville à moi , la justice trancha à son désavantage malgré ses prières , ses sollicitations , ses écrits au Procureur de la république , à faire témoigner le payeur qui lui fit faire déchirer un dernier chèque d’intérêts de trente millions de centimes .

Qui s’amuserait à agir ainsi en cas de non paiement

Cette dette là qu’il a accumulée grâce à votre serviteur vu que mon port à moi , ma micro république à moi lui doit pas mal d’argent .

seulement , mes calculs de puissance traîtresse de tous temps ;bases de ma réussite , n’ont trouvé et ne trouveront aucune place à ALGER face à :

L’honnêteté .

L’intégrité sans appels .

Le sens du devoir véridique .

Il faut se rendre à l’évidence que :

Nos factions tribales .

Nos si othmane de marabouts .

Ne peuvent plus grand choses :

A vouloir à tous prix .

Que les évènements se déroulent et se clôturent à leurs convenances .

Maintenant , moi l’incapable à résoudre une équation du premier degré à une inconnue , je me suis juré à persévérer par l’utilisation ;

Davantage d’emplois de moyens que vous savez ,pour atteindre mon but .

Qui désiré également à présent par toute ma famille

il s’agit de l’esquinter sur un autre pole .

Se trouvant acculé par sa banque qui veut lui saisir tous ses biens .

Il n’a trouvé mieux que de tenter à récupérer son dû

Encore une fois ,Comme le clame toujours notre président :

En qui il croit de tout son cœur .

Vu qu’il n’arrête jamais de louanger la positivité de

son travail .

Le vrai , de la vraie république .

Qui fournit un travail pour l’état doit être payé en

conséquence ? un point et c’est tout .

Toutefois , moi , le djenhi persiste et signe .

Je le dis , le proclame , tout haut .

Tous les travailleurs que j’avais licencié à tord et à

travers ont eu gain de cause .

Pourquoi , parce que je l’ai voulu ainsi tout

simplement .

Ou peut être parce que parce que je possède

quelques scrupules en fin de compte .

Jonglant , avec l’argent de l’état à ma guise , je ne me suis jamais soucié du bénéfices annuel .

Je licencie , je remplace de mon djebel.

A l’instant ou j’écris , sachez que pas moins de six de mes frères sont salariés dans mon port .

Egalement , pas moins de vingt de mes cousins le sont aussi .

Pour certains auxquels je les ai destiné à d’autres tâches , ne se présentant que rarement à leur poste de travail .

En plus de mes tractations d’ici et de l’étranger .

Je me suis permis de grignoter pour ainsi dire ,

Pas mal de sous en dinars .

En jouant sur notre incapacité à gérer notre entreprise .

En jouant sur le fait que nous sommes encore en

pleins investissements .

et quels gros et épaissis à souhait

d’investissements?

Je me suis lié avec des importateurs peu scrupuleux

De par :

Leur passé , leur histoire d’affreux djeblistes .

Leur passé de repris de justice de coureurs de jupons , habitude enracinée de par leur vie tribale .

Ironie du sort , actuellement :

En temps de PERESTROIKA et de

GULASSTNOST .

Ils se retrouvent actionnaires avec la banque centrale d’Algérie .

Au lieu de débourser une somme S de dinars pour le stockage dans les autres ports de leurs marchandises que la B . C . A .leur a si gentiment ramenées de l’étranger ,

Ils gagneraient 0,2 S de dinars .

Pour cela , la facture à établir sera de : 0,6 S D.A.

Les autres 0,2 S D.A. , je vous laisse le soin d’en

faire les conclusions .

L’important est que l’entreprise tourne .

Moi le djenhi je persiste et signe .

Contrairement aux directives de notre raïs

Je m’engage à ne pas lui payer le dû de ses enfants La solution a été vite trouvée en la personne du préposé au tribunal civil de Jijel .

Ce dernier l’a vite envoyé baladé , après six mois

Pour seulement une seule réponse de notre part .

Dans ce dossier qu’il a eu à traiter , il a débouté ce diable , en invoquant des causes étrangères tout bonnement à l’affaire numéro : ,pour

laquelle , à aucun moment il n’a effleuré son étude .

On constate , donc une prise à partie flagrante et

Un déni de justice prononcé .

Donc , sa tentative à vouloir récupérer ou si vous voulez être dédommagé restera toujours vaine ; vu que tous ses équipements qu’il a répertorié par un huissier de justice , que je lui avais saisi arbitrairement sans aucune décision de justice , je les ai tout simplement troqué .

A l’heure où je vous précise tout cela , il va tout simplement entendre cette éternelle pour lui de phrase :

NEFSS-EL-HOUKM .

Cette fameuse et expéditive décision , il continuera toujours à l’entendre ; je vous en donne ma parole .

Selon la loi , d’après un avocat , à la lecture de ce qui a suivi se rapportant à son matériel , Le Procureur de La République devrait me poursuivre pour vol qualifié .

Comment fera t- il pour nourrir ses gosses le pauvre ingénieur .

Vu qu’il sera bientôt à la rue jetée par la banque .

N’ayant plus nulle part ou travailler .

Essayez de l’aider .

Je défie quiconque de lui donner un coup de pouce

Pour recouvrer son dû que l’état Algérien représenté par moi si othmane , lui doit .

C’est vrai , il a le pauvre essayé auprès des très proches parents à son épouse , très influents au sein du gouvernement pour que triomphe la vraie justice mais sans résultats aucuns .

Car ces derniers ,mes amis de toujours m’en ont

faits eux mêmes part de ses intentions .

Naïf qu’il est , il s’imagine encore que le lien

familial l’emporte sur celui de l’argent .

Lui qui s’est imaginé s’être lié à une famille noblement enracinée .

Comme j’ai eu le temps de le connaître , il leur rendra coup sur coup , le moment venu , car la roue du désespoir où il s’est fourré selon ses deux gendres tournera un jour ou l’autre car notre remugle à nous tous explosera très bientôt .

Il s’est drôlement trompé ,le bougre . pour la récupération de ses dus par le biais des tribunaux civils de JIJEL et de BEJAIA . auprès des entreprises portuaires respectivement des deux villes sus citées .

Ainsi que par le biais du tribunal administratif de la première citée.

la destination du crédit bancaire qui lui fut allouée fut La réalisation de la protection cathodique du nouveau quai du port de BEJAIA .

vous avez eu tout le temps de me juger , et , comprendre, ô combien il a été naïf en tombant dans leur panneau d’étoffage d’un contrat de travail , basé sur des transgressions administratives

dans le but de lui faire mordre la poussière ! Ils y sont arrivés, sous la houlette de votre directeur

votre serviteur chers lecteurs .

Car, formant une même famille sous l’égide de nos parrains de SOGEPORTS, on lui a tous tenu rancune , suite à une plainte pour détournements déposée par ses soins à l’encontre du directement sus cité seulement :

Il a confiance dans la justice de son pays.,

Moi , le djenhi , le grand .

Moi qui fut ,est et serait capable de ;

De décider pour l’état .

De me faire payer à ma guise par l’état .

De faire ce que bon me semble de ce bas peuple .

Sans en être inquiété pour autant .

Au contraire , félicité à toutes les occasions .

Chers lecteurs .

Qui pourra prétendre avoir réussi mieux que moi dans la vie .

Même .notre président de notre vraie république

Qui s’acharne a trimer nuit et jour pour nous combler nos trous :

En jonglant en négociations pour l’obtention de prêts de l’étranger .

En dépourvant tel ou tel secteur pour nous combler

davantage .

Lui , il est détrônable selon la constitution .

Nous messieurs du gouvernement , on est intouchable .

Vu que notre présidium à nous , lui cache toutes les vérités .

Pour votre gouverne , messieurs ,même les grèves de plusieurs mois ne nous ont pas ébranlées pour autant .

On est là et on vous défie .

On y est , et on y reste jusqu’à notre installation au soleil , toute prête d’ailleurs

A l’étranger .

Me concernant , ayant absolument touché à tout

durant mon directorat de micro république ,

je ne m’en suis pas rassasié .

Malgré que rongé par tous les maux de dieu

Mon opportunité , ma soif non assouvie à vouloir

le dépasser ,le commander ce citadin l’emporte toujours .

Mes ambitions vous touchent ,messieurs de la présidence .

J’y arriverais , n’en doutez point .

Mon marabout attitré me l’a assuré .

Je lui dois tout .

J’ai appartenu .

Je lui appartiendrais toujours .

Notre parti : le front de libération nationale a vraiment essayé de me catapulter , la députation de

ma région .

A mairie d’un gros bourg de ma région .

Malheureusement sans succès aucun .

Idem pour mon premier collaborateur .

Malheureusement pour moi je dois me rendre

A l’évidence qu’une élection est voulue ,désirée par

la majorité du peuple avec le bon des bon dieu

aidant .

Pas voulue selon nos désirs ; par les nuées de parasites de chez nous nés d’en haut .

Pas par les vendeurs du surnaturel .

Chers lecteurs ,excusez moi .

Le temps presse .

Comme dirait da othmane :

La mort est derrière moi .

Ou vais je me cacher .

Sinon auprès de ma fortune .

En Belgique . . .

EPILOGUE

Moi , le djenhi , votre da-othmane ou si vous voulez votre Président Tito appellation qui vient de découler de source après cette lecture o combien véridique , complice à tous nos concitoyens , je suis arrivé à mes fins matoises planifiées à justes titre par un cerveau denué de toutes éducations , cultures de base pour mettre toute sa famille à genoux .

Lui qui a osé s’opposer à la bonne marche de nore république à nous .

Lui , qui nous a nous a fait découler un manque à gagner énorme en m’empêchant de surfacturer à ma guise , en freinant le fonctionnement de notre tirelire à l’étranger par des quelconques importations comme à notre accoutumée .

Le perdant dans tout cela , c’est ce Turc d’origine qui sort de notre lot à nous tous .

Car , moi et mon habituel co-résident à l’œil d’hotels de luxe et de vieux alcools primés à l’image de nos ancêtres ottomans :

Pour avoir risqué à nous oter notre paradis , il devra en payer les conséquences .

Comme esquissé plus haut mes résultats désirés ont abouti sous la houlette de ce trois-pommes , attoucheur à tout selon les rumeurs qui a à la perfection menée ma seconde bataille à l’encontre de ce mangeur de parasites que nous sommes .

Son dernier front , à bejaia , que votre serviteur tout dévoué a provoqué , il l’a fait taire à jamais .

En effet , figurez-vous chers lecteurs , que la banque lui a saisi tous ses biens , les vendant aux enchères malgré tous ces écrits explicatifs en haut lieu ; ceci est du à mes ramifications directement implantées au niveau de la vraie Présidence comme il a été fait allusion .

Mon collegue de ce port voisin a poussé son ami de la direction régionale de la BNA nouvellement installé à procéder à la saisie scéance tenante de la maison de ses cinq garçons sans tenir compte du verdict très proche pour la récupération de son du auprès de l’entreprise portuaire en question .

Sans tenir également compte des procédures judiciaires en cours engagées à l’encontre de celui de son ami de Djendjen .

Plus grave encore , sans tenir compte du bon de commande de trois millions de dinars pour la coulée en fonderie d’articles de sport déposé par ses soins .

La somme qu’il devait à la banque totalisée en agios en grande partie , notre Turc de Bejaia l’a sous mes directives complètement embobiné.

Son marché à lui de protection cathodique , qui lui fut scindé en deux baffouant pour cela les directives présidentielles , transgressant carrément toutes lois ou logiques en lui amputant de son crédit la retenue de garantie sur tout le montant du marché malgré qu’il lui interdit la réalisation de la moitié .

Son marché à lui donc a été attribué à un très proche parent à sa directrice tehnique qui enest maintenant le détenteur .

Lui qui fut classé second car plus cher que lui de trente millions de dinars .

Lui qui est en train de réaliser son travail en utilisant le fruit de son étude tehnique qui a su faire profiter au port d’une économie de plus de cinquantes millions de dinars .

De plus , faisons éclater la réalité chers lecteurs :

En un mot son projet est en train de se faire par un affairiste qui attends l’arrivée des anodes de France que cet ingénieur leur a lui-même coulé et livré sans percevoir un centime de leur part au contraire .

De ce fait il fera profiter les étrangers de son étude technique .

Si rachid , cet habitué de la taverne à si abdelkadder notre petit turc à nous du port de bejaia a eu tout le loisir de négocier la cote part de notre république à nous .

Vu que , à si rachid on ne lui interdit point la partie de grattage du quai et l’entreprise de plongée sollicité par l’ingénieur en question a débutée ses travaux dès la signature de l’ordre de service .

De plus l’importateur de l’occasion a lui , pu obtenir toutes les avances requises par le code des marchés.

CHERS LECTEURS :

Nous les écornifleurs des ports d’Algerie , on vous interpelle .

Ou est passée la justice de votre peuple .

Celle qui chatie à tout bout de champs ceux qui dilapident même un dinar de deniers publics .

Celle qui poursuit pénalement les erreurs professionnelles .

Celle qui emprisonne pour un quelconque traifc d’influence de degré quoique très bas .

Celle qui est attentionné à toutes dénonciations .

Celle-ci nous concernant ne s’applique nullement à nous .

Notre république à nous possède des soutiens primordiaux locaux .

Notre république à nous a bel et bien tissée sa toile d’araignée jusque dans les coulisses Présidentielles pour la protection de ses hommes de main à l’image de vos serviteurs qui malgré que illétres au sens réel du terme , gérons des entreprises brassant ou devant brasser des sommes phénoménales .

C’est pourquoi , notre stade d’impossibilité à nous demander des comptes même pour des homicides involontaires ayant entrainé la mort de personnes étrangères ou non sans intention de la donner est atteint .

Alors , se faire payer plus grassement qu’un ministre ou qu’un préfet est devenu pour nous les tito de chaque ville côtière normale .

Se trimballer à longueur d’année en avion en classe première s’il vous plait tout en orchestrant des surfacturations , des licencièments , des importations d’équipements réformés mais maquillés en neufs : ça nous connaît .

On est inégalables pour la confection des dossiers adéquats .

On est aussi indétronable qu’on est sur notre scène à nous qu’est le palais de justice pour maquiller le réel en faux aux yeux du juge par des pleurnichements des femmes de faibles mœurs , car ce domaine-là ça nous connaît à l’image de centaines de putains qu’on a eu l’occasion d’effleurer , de nous fritter nos panses sur les quais d’Anvers durant nos voyages mensuels pendant quatre années .

Cette expérience qu’on s’est offerte et offerte et offerte des poches de notre peuple .

Malheureusement j’ai sous estimé l’honnêteté et la compétence du juge ce jour-là .

Je m’excuse chers lecteurs mais , malgré moi je me mets à me répéter vu que j’en ai entendu ces rengaines ou si vous voulez des échos de rengaines car ne comprenant que le langage arabe , de Jacques Brell dans ses recoins-là : mes préférés :

Au voisinnage du lieu de résidence du natif du cul de sac de la pépinière de Jijel .

Comme il s’est toujours dit que l’occasion fait le larron .

En considérant que pour notre part on ferme les yeux sur la création délibérée par nous mêmes d’occasions par dizaines par jour .

Donc par déduction mathématique larron on l’est donc .

Qui ferme les yeux à nos transgressions connus de tous .

Tout d’abord stratégie oblige , mes amis de toujours ces signataires d’articles de presse écrite qui n’ont à aucun moment essayé de ternir mon image de marque en alertant l’opinion nationale car la locale elle le fut durant vingt cinq ans et elle le sera jusqu’à ma mort.

L’opinion de notre directoire elle l’est par fonctionnemement bien-sur .

Idem pour l’opinion ministérielle .

Notre presse de bon vouloir donc ne lésinne pas sur les moyens pours’acharner en caricatures grotesques et en sous entendus dénués de fondements pour traîner notre Président dans la boue alors qu’aucun mot ne fut imprimé à l’encontre de votre serviteur qui a été délesté de son passeport par la justice durant plusieurs mois pour ce que vous savez .

Et ils clament tout haut le freinage de leur liberté d’expression .

Qu’ils soient logiques et francs avec eux-mêmes .

Car qu’ils le veuillent ou non l’algerie selon notre constitition n’est pas territoire kabyle .

Qu’ils tirent les renes chez eux et c’est tout .

Car comment expliquer le manque de réaction de la plume d’un journaliste digne de ce nom lorsque dans la localité qu’ils sont sencés superviser des scoops comme ils les appellent dans leur langage professionnel leur sont offerts sur un plateau .

Scoops de la renault 21 surfacturée .

Scoop du puits à sec largement sur payé .

Scoop des clarcks porte-conteners importes avec moteurs usés .

Scoop d’une décision anormale car le néant à soutirer est signalé , mais le drame international a été repeché par l’état que je suis sensé représenté et dont il doit se préparer à régler une facture salée .

Cet ex cargo là battant pavillon nord -Coréen c’est-à-dire communiste n’était pas en mesure de nous régler de l’autre coté de la grande bleue quelque dizaines d’hectolitres de mazout sans les bruler car je l’aurais fait amarrer dans le bassin du port comme cela s’est toujours offert à certains capitalistes lors de fortes houles .

Scoop d’un pauvre navire en panne et n’ayant pas terminé son déchargement .

Scoop d’un caissier dirigé vers la retraite anticipée par un chantage bien muri sans pour cela percevoir un quelconque pécule de départ .

Scoop d’un chalutier privé échoué depuis fort longtemps dans la rade du port …….

Le résultat de leur machination est le souci impératif à ne pas informer le premier magistrat du pays .

TOUT CECI , MOI LE DJENHI JE L’AI VOULU

CAR SINON ? ON ASSISTERA / à l’image de BLIDA / A UNE TELLE DEFLAGRATION DUE A UNE REACTION EN CHAINE DIGNE D UNE BOMBE A HYDROGENE .

Publicité
Publicité
Les Ecornifleurs Des Ports
Publicité
Publicité